Le coffret de santal

Par : Charles Cros

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  • Nombre de pages226
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.18 kg
  • Dimensions10,9 cm × 17,8 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-07-031833-9
  • EAN9782070318339
  • Date de parution18/10/2007
  • CollectionPoésie
  • ÉditeurGallimard
  • PréfacierHubert Juin

Résumé

"Il avait voulu fixer l'apparence des choses, la voix des êtres. Il rêvait à la victoire de l'homme sur le temps ennemi. Il a passé - comme il dit - des portes ouvertes sur l'imaginaire. Le Coffret de santal rassemble et mélange, sauve et confond quatre visages de femmes : Nina de Villard, sauvagement aimée, qui était brune ; Sidonie, énigmatique, inconnue, qui, si l'on en croit les poèmes, était blonde ; Mary Hjardemaal, l'épouse ; Solange de Ladevignère, morte jeune et dont le fantôme, on le soupçonne, hantait Charles Cros à chaque "heure verte".
Bien sûr, ces quatre visages ne s'avouent véritablement qu'avec la seconde édition du Coffret de santal : celle-ci, qui est complète, et jugée, par son auteur, définitive. Puis, ces quatre visages à la fin s'épousent étroitement et ne se peuvent plus l'un de l'autre distinguer. Il reste la Reine des fictions. Je veux dire : ce que Charles Cros savait de la poésie, et qu'il faut maintenant découvrir".
Hubert Juin.
"Il avait voulu fixer l'apparence des choses, la voix des êtres. Il rêvait à la victoire de l'homme sur le temps ennemi. Il a passé - comme il dit - des portes ouvertes sur l'imaginaire. Le Coffret de santal rassemble et mélange, sauve et confond quatre visages de femmes : Nina de Villard, sauvagement aimée, qui était brune ; Sidonie, énigmatique, inconnue, qui, si l'on en croit les poèmes, était blonde ; Mary Hjardemaal, l'épouse ; Solange de Ladevignère, morte jeune et dont le fantôme, on le soupçonne, hantait Charles Cros à chaque "heure verte".
Bien sûr, ces quatre visages ne s'avouent véritablement qu'avec la seconde édition du Coffret de santal : celle-ci, qui est complète, et jugée, par son auteur, définitive. Puis, ces quatre visages à la fin s'épousent étroitement et ne se peuvent plus l'un de l'autre distinguer. Il reste la Reine des fictions. Je veux dire : ce que Charles Cros savait de la poésie, et qu'il faut maintenant découvrir".
Hubert Juin.
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