"Le chemin du paradis commence en enfer", écrivait Dante - un chemin que Francis Ford Coppola aura parcouru en long et en large, au gré d'infinis allers-retours, durant ses soixante années de carrière. En partant du monumental et délirant tournage d'Apocalypse New, Le Chemin du paradis nous livre un portrait intime et kaléidoscopique du cinéaste, de ses débuts avec Dementia 13 jusqu'au plateau de Megalopolis, nous replongeant avec passion dans les mythiques années 1970 qui virent le réalisateur accoucher de quelques-uns des plus grands chefs-d'oeuvre du cinéma, de Conversation secrète à son épopée vietnamienne, ; en passant par les deux premiers volets du Parrain. Mais plus encore que la simple biographie d'un génie jusqu'au-boutiste, c'est l'histoire du rêve de toute une vie qui se dévoile ici : celui de Zoetrope, société de production et communauté que Coppola ne cessa d'élaborer et de bâtir autour de lui, marquées par le sens du partage et de la famille, par la passion de la mise en jeu et le goût de l'excès. Relatant le combat quichottesque de Zoetrope contre les canons d'Hollywood, Le Chemin du paradis croise les trajectoires des nombreux cinéastes qui furent ses compagnons de route : l'incontournable George Lucas, bien sûr, à la fois "frère" et antithèse de Coppola, l'ami Martin Scorsese, le mentor Roger Corman, mais aussi Carroll Ballard, Michael Powell, Steven Spielberg, Wim Wenders, Jean-Luc Godard Ott ou David Lynch. Un fascinant labyrinthe cinéphile, hanté par un Coppola démiurge et visionnaire.
"Le chemin du paradis commence en enfer", écrivait Dante - un chemin que Francis Ford Coppola aura parcouru en long et en large, au gré d'infinis allers-retours, durant ses soixante années de carrière. En partant du monumental et délirant tournage d'Apocalypse New, Le Chemin du paradis nous livre un portrait intime et kaléidoscopique du cinéaste, de ses débuts avec Dementia 13 jusqu'au plateau de Megalopolis, nous replongeant avec passion dans les mythiques années 1970 qui virent le réalisateur accoucher de quelques-uns des plus grands chefs-d'oeuvre du cinéma, de Conversation secrète à son épopée vietnamienne, ; en passant par les deux premiers volets du Parrain. Mais plus encore que la simple biographie d'un génie jusqu'au-boutiste, c'est l'histoire du rêve de toute une vie qui se dévoile ici : celui de Zoetrope, société de production et communauté que Coppola ne cessa d'élaborer et de bâtir autour de lui, marquées par le sens du partage et de la famille, par la passion de la mise en jeu et le goût de l'excès. Relatant le combat quichottesque de Zoetrope contre les canons d'Hollywood, Le Chemin du paradis croise les trajectoires des nombreux cinéastes qui furent ses compagnons de route : l'incontournable George Lucas, bien sûr, à la fois "frère" et antithèse de Coppola, l'ami Martin Scorsese, le mentor Roger Corman, mais aussi Carroll Ballard, Michael Powell, Steven Spielberg, Wim Wenders, Jean-Luc Godard Ott ou David Lynch. Un fascinant labyrinthe cinéphile, hanté par un Coppola démiurge et visionnaire.