Le charme et la sublimation. Essai sur le désir et la renonciation dans l'oeuvre d'Eric Rohmer

Par : Patrice Guillamaud
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  • Nombre de pages585
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.899 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 3,1 cm
  • ISBN978-2-204-12247-4
  • EAN9782204122474
  • Date de parution02/06/2017
  • CollectionIdées
  • ÉditeurCerf

Résumé

L'oeuvre d'Eric Rohmer est une réflexion sur l'art et le cinéma. C'est aussi et surtout une authentique philosophie de la vie. La vie y est définie comme étant à la fois désir et renoncement à la satisfaction du désir, mais en tant que ce même renoncement s'annonce sous le titre de l'accomplissement. Elle est donc définie comme étant par essence renonciation, c'est-à-dire l'expression par excellence du charme dans la sublimation des désirs.
La renonciation est, chez Rohmer, à la fois un contenu thématique, une forme cinématographique et surtout une structure dynamique. Celle-ci se déploie, dans la réalité concrète du film, dans les trois moments affectifs et renonciateurs de l'aspiration, de l'action et de l'accomplissement. L'auteur montre alors que la structure propre aux Contes moraux diffuse, de manière discrète et diverse, dans la totalité de l'oeuvre rohmérienne.
L'oeuvre d'Eric Rohmer est une réflexion sur l'art et le cinéma. C'est aussi et surtout une authentique philosophie de la vie. La vie y est définie comme étant à la fois désir et renoncement à la satisfaction du désir, mais en tant que ce même renoncement s'annonce sous le titre de l'accomplissement. Elle est donc définie comme étant par essence renonciation, c'est-à-dire l'expression par excellence du charme dans la sublimation des désirs.
La renonciation est, chez Rohmer, à la fois un contenu thématique, une forme cinématographique et surtout une structure dynamique. Celle-ci se déploie, dans la réalité concrète du film, dans les trois moments affectifs et renonciateurs de l'aspiration, de l'action et de l'accomplissement. L'auteur montre alors que la structure propre aux Contes moraux diffuse, de manière discrète et diverse, dans la totalité de l'oeuvre rohmérienne.