Le Cameroun vu par la presse (1944-1955). Aux origines de la révolution de mai 1955

Par : Hermenegildo Adala
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  • Nombre de pages216
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.337 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-343-18975-8
  • EAN9782343189758
  • Date de parution17/01/2020
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierAnanie Rabier Bindji
  • PostfacierOwono Zambo

Résumé

Mai 55, c'est un peu l'histoire d'un homme qui mord un chien. Et ça fait tilt. Mieux, un "buzz" comme on dirait aujourd'hui. Comme un "buzz", l'information accroche et fait les choux gras des journaux, toutes tendances et sensibilités politiques confondues. Décryptage des symboles : le chien, c'est le pouvoir colonial français, et l'homme, c'est le nationaliste camerounais qui va mordre ce pouvoir et sa soldatesque, pour une noble cause, l'indépendance du Cameroun.
Ce livre présente les faits, gestes et postures des principaux acteurs ayant occupé la scène politique, syndicale et socioéconomique du Cameroun dans la période comprise entre 1944 et mai 1955. Onze années d'actualité camerounaise sont ainsi passées au peigne fin, donnant lieu à une abondante littérature journalistique, la palme d'or revenant au quotidien Le Monde, avec son reportage-fleuve en huit volets sur le Cameroun en 1949 et une cinquantaine d'articles de 1948 à avril 1955.
Ce qui, à l'évidence, permet au lecteur de saisir en quelque sorte, même de manière imparfaite, les origines et les causes de ce qu'on considère comme la "révolution" camerounaise de mai 55.
Mai 55, c'est un peu l'histoire d'un homme qui mord un chien. Et ça fait tilt. Mieux, un "buzz" comme on dirait aujourd'hui. Comme un "buzz", l'information accroche et fait les choux gras des journaux, toutes tendances et sensibilités politiques confondues. Décryptage des symboles : le chien, c'est le pouvoir colonial français, et l'homme, c'est le nationaliste camerounais qui va mordre ce pouvoir et sa soldatesque, pour une noble cause, l'indépendance du Cameroun.
Ce livre présente les faits, gestes et postures des principaux acteurs ayant occupé la scène politique, syndicale et socioéconomique du Cameroun dans la période comprise entre 1944 et mai 1955. Onze années d'actualité camerounaise sont ainsi passées au peigne fin, donnant lieu à une abondante littérature journalistique, la palme d'or revenant au quotidien Le Monde, avec son reportage-fleuve en huit volets sur le Cameroun en 1949 et une cinquantaine d'articles de 1948 à avril 1955.
Ce qui, à l'évidence, permet au lecteur de saisir en quelque sorte, même de manière imparfaite, les origines et les causes de ce qu'on considère comme la "révolution" camerounaise de mai 55.