La Vocation lyrique. La poétique du recueil lyrique en France à la Renaissance et le modèle des Carmina d'Horace

Par : Nathalie Dauvois

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  • Nombre de pages263
  • PrésentationBroché
  • Poids0.5 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-8124-0104-6
  • EAN9782812401046
  • Date de parution01/03/2010
  • CollectionEtudes et essais Renaissance
  • ÉditeurClassiques Garnier

Résumé

Le mot lyrique a été inventé par les grammairiens alexandrins pour désigner un type de poésie grecque archaïque, d'emblée défini comme originel et irrémédiablement perdu, celui d'une poésie de la performance, indissociable de la musique, prière ou action de grâces sur les autels des dieux, célébration sur le lieu de la victoire, invitation à boire au cours du banquet, etc. Tout poème lyrique convoque cette origine, réinvente au siècle de l'écriture, du livre, de l'imprimerie, cette performance et cette variété premières.
Horace le premier offre dans ses Carmina un modèle de transposition en recueil que les jeunes poètes français de la Renaissance, épris d'origine et de nouveauté, reprennent et réinventent, pour ressusciter à leur tour l'origine perdue de la lyrique.
Le mot lyrique a été inventé par les grammairiens alexandrins pour désigner un type de poésie grecque archaïque, d'emblée défini comme originel et irrémédiablement perdu, celui d'une poésie de la performance, indissociable de la musique, prière ou action de grâces sur les autels des dieux, célébration sur le lieu de la victoire, invitation à boire au cours du banquet, etc. Tout poème lyrique convoque cette origine, réinvente au siècle de l'écriture, du livre, de l'imprimerie, cette performance et cette variété premières.
Horace le premier offre dans ses Carmina un modèle de transposition en recueil que les jeunes poètes français de la Renaissance, épris d'origine et de nouveauté, reprennent et réinventent, pour ressusciter à leur tour l'origine perdue de la lyrique.
Maurice Scève
Nathalie Dauvois, Michèle Clément, Xavier Bonnier
19,00 €