La violence des marges politiques des années 1980 à nos jours
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- Nombre de pages207
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.34 kg
- Dimensions15,7 cm × 23,9 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-36013-465-6
- EAN9782360134656
- Date de parution14/12/2017
- CollectionViolences et radicalités milit
- ÉditeurRiveneuve
Résumé
Explorer le coeur des radicalités, des néo-nazis aux ultras gauches, ce n'est pas les amalgamer. C'est vouloir comprendre le basculement d'une société qui, à partir des années 1980, récuse toute valeur à la violence politique. Alors que les partis extrémistes se normalisent et s'installent dans le paysage électoral, la radicalité se réfugie dans les marges. La pluralité de celles-ci ne dissimule pas des dynamiques générales : dans la France récente, si la violence des militants politiques est moins importante qu'avant, elle est aussi plus structurée selon un mode horizontal.
Elle est faite par réseaux et bandes. Elle surgit plus en réaction à une action des ennemis désignés qu'en fonction d'un agenda propre. Elle est plus souvent une question de style ou d'esthétique mobilisant le noyau militant qu'une stratégie de déstabilisation politique. Cette fluidité et cette basse intensité sont en résonance avec l'évolution internationale, comme en témoignent des phénomènes tels que les Black blocs ou les Nationalistes Autonomes.
Cet ouvrage constitue une approche pluridisciplinaire de cette nouvelle époque, où la violence est avant tout affaire de groupes très idéologisés mais réduits.
Elle est faite par réseaux et bandes. Elle surgit plus en réaction à une action des ennemis désignés qu'en fonction d'un agenda propre. Elle est plus souvent une question de style ou d'esthétique mobilisant le noyau militant qu'une stratégie de déstabilisation politique. Cette fluidité et cette basse intensité sont en résonance avec l'évolution internationale, comme en témoignent des phénomènes tels que les Black blocs ou les Nationalistes Autonomes.
Cet ouvrage constitue une approche pluridisciplinaire de cette nouvelle époque, où la violence est avant tout affaire de groupes très idéologisés mais réduits.
Explorer le coeur des radicalités, des néo-nazis aux ultras gauches, ce n'est pas les amalgamer. C'est vouloir comprendre le basculement d'une société qui, à partir des années 1980, récuse toute valeur à la violence politique. Alors que les partis extrémistes se normalisent et s'installent dans le paysage électoral, la radicalité se réfugie dans les marges. La pluralité de celles-ci ne dissimule pas des dynamiques générales : dans la France récente, si la violence des militants politiques est moins importante qu'avant, elle est aussi plus structurée selon un mode horizontal.
Elle est faite par réseaux et bandes. Elle surgit plus en réaction à une action des ennemis désignés qu'en fonction d'un agenda propre. Elle est plus souvent une question de style ou d'esthétique mobilisant le noyau militant qu'une stratégie de déstabilisation politique. Cette fluidité et cette basse intensité sont en résonance avec l'évolution internationale, comme en témoignent des phénomènes tels que les Black blocs ou les Nationalistes Autonomes.
Cet ouvrage constitue une approche pluridisciplinaire de cette nouvelle époque, où la violence est avant tout affaire de groupes très idéologisés mais réduits.
Elle est faite par réseaux et bandes. Elle surgit plus en réaction à une action des ennemis désignés qu'en fonction d'un agenda propre. Elle est plus souvent une question de style ou d'esthétique mobilisant le noyau militant qu'une stratégie de déstabilisation politique. Cette fluidité et cette basse intensité sont en résonance avec l'évolution internationale, comme en témoignent des phénomènes tels que les Black blocs ou les Nationalistes Autonomes.
Cet ouvrage constitue une approche pluridisciplinaire de cette nouvelle époque, où la violence est avant tout affaire de groupes très idéologisés mais réduits.