La villa gallo-romaine du palais à Châteauneuf-du-Rhône (Drôme)
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- Nombre de pages598
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids1.949 kg
- Dimensions21,0 cm × 29,5 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-35668-079-2
- EAN9782356680792
- Date de parution15/03/2023
- CollectionDARA
- ÉditeurMOM Jean-Pouilloux
Résumé
La villa antique du Palais à Châteauneuf-du-Rhône (Drôme), fouillée entre 1987 et 2017, en particulièrement bien située, à proximité de l'étape routière d''Acunum, dans la région de Montélimar. On a ainsi une bonne connaissance de la résidence et de son domaine, notamment d'importants secteurs de ses bâtiments rustiques et de ses zones funéraires. Cet ensemble, créé au Ier siècle de notre ère, se développe dès le IIe et plus encore au IVe.
Les fouilles ont permis d'en suivre les extensions successives tant du domaine agricole proprement dit (après des vignes des vergers, par exemple, sont adossés à l'est de la propriété) que des espaces de confort réservés aux propriétaires (thermes au IIe siècle). Au cours du Ive siècle, l'exploitation se tourne à nouveau vers la viticulture. Par ailleurs, l'essor des espaces d'agrément (installation d'un bassin, d'une fontaine à jeux d'eau) est remarquable : la superficie de la résidence est doublée et sa structure devient comparable à celle des grands domaines d'Italie ou d'Espagne.
Si le propriétaire reste anonyme, le mobilier et les décors de sa villa donnent à penser qu'il s'agissait d'un notable cultivé. Divers témoignages suggèrent qu'il entretenait des relations économiques tant avec le Sud et Arles qu'avec le Nord et Lyon.
Les fouilles ont permis d'en suivre les extensions successives tant du domaine agricole proprement dit (après des vignes des vergers, par exemple, sont adossés à l'est de la propriété) que des espaces de confort réservés aux propriétaires (thermes au IIe siècle). Au cours du Ive siècle, l'exploitation se tourne à nouveau vers la viticulture. Par ailleurs, l'essor des espaces d'agrément (installation d'un bassin, d'une fontaine à jeux d'eau) est remarquable : la superficie de la résidence est doublée et sa structure devient comparable à celle des grands domaines d'Italie ou d'Espagne.
Si le propriétaire reste anonyme, le mobilier et les décors de sa villa donnent à penser qu'il s'agissait d'un notable cultivé. Divers témoignages suggèrent qu'il entretenait des relations économiques tant avec le Sud et Arles qu'avec le Nord et Lyon.
La villa antique du Palais à Châteauneuf-du-Rhône (Drôme), fouillée entre 1987 et 2017, en particulièrement bien située, à proximité de l'étape routière d''Acunum, dans la région de Montélimar. On a ainsi une bonne connaissance de la résidence et de son domaine, notamment d'importants secteurs de ses bâtiments rustiques et de ses zones funéraires. Cet ensemble, créé au Ier siècle de notre ère, se développe dès le IIe et plus encore au IVe.
Les fouilles ont permis d'en suivre les extensions successives tant du domaine agricole proprement dit (après des vignes des vergers, par exemple, sont adossés à l'est de la propriété) que des espaces de confort réservés aux propriétaires (thermes au IIe siècle). Au cours du Ive siècle, l'exploitation se tourne à nouveau vers la viticulture. Par ailleurs, l'essor des espaces d'agrément (installation d'un bassin, d'une fontaine à jeux d'eau) est remarquable : la superficie de la résidence est doublée et sa structure devient comparable à celle des grands domaines d'Italie ou d'Espagne.
Si le propriétaire reste anonyme, le mobilier et les décors de sa villa donnent à penser qu'il s'agissait d'un notable cultivé. Divers témoignages suggèrent qu'il entretenait des relations économiques tant avec le Sud et Arles qu'avec le Nord et Lyon.
Les fouilles ont permis d'en suivre les extensions successives tant du domaine agricole proprement dit (après des vignes des vergers, par exemple, sont adossés à l'est de la propriété) que des espaces de confort réservés aux propriétaires (thermes au IIe siècle). Au cours du Ive siècle, l'exploitation se tourne à nouveau vers la viticulture. Par ailleurs, l'essor des espaces d'agrément (installation d'un bassin, d'une fontaine à jeux d'eau) est remarquable : la superficie de la résidence est doublée et sa structure devient comparable à celle des grands domaines d'Italie ou d'Espagne.
Si le propriétaire reste anonyme, le mobilier et les décors de sa villa donnent à penser qu'il s'agissait d'un notable cultivé. Divers témoignages suggèrent qu'il entretenait des relations économiques tant avec le Sud et Arles qu'avec le Nord et Lyon.