La vie vaut la peine d'être visage. Essai sur le visage

Par : Céline Masson, Jean-Luc Parant
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  • Nombre de pages89
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.25 kg
  • Dimensions16,0 cm × 22,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-909422-77-1
  • EAN9782909422770
  • Date de parution27/01/2004
  • ÉditeurEncre Marine

Résumé

VISAGE DU VISAGE, il est tout pour l'enfant. Ce visage est l'occasion de prendre connaissance de soi car c'est du dehors que je prends contact avec mon intériorité. Le premier autre me donne mon dedans par son visage ouvert. La première figure qui sort de ce vide pour le nouveau-né est donc le visage d'une mère, visage-regard respirant et qui donne à l'enfant la certitude d'exister. Dans ce regard, l'enfant trouve son propre visage et le façonne alors pour le dresser ensuite vers le monde.
Il peut être la face du monde car il a trouvé un moule dans le maternel pour se tenir devant, la face haute. Le visage de la mère est un mirador sur la surface de la terre : il est pour l'enfant le premier regard posé sur le monde. (Céline Masson) JE NE ME VOIS PAS et c'est comme si j'avais gardé de moi le visage de l'enfant que j'ai été. Je ne me vois pas pour pouvoir tenir devant moi les yeux ouverts sans jamais changer mon visage.
Je ne me vois pas pour toujours porter le visage de la première fois. Je ne me vois pas pour rester vivant. (Jean-Luc Parant)
VISAGE DU VISAGE, il est tout pour l'enfant. Ce visage est l'occasion de prendre connaissance de soi car c'est du dehors que je prends contact avec mon intériorité. Le premier autre me donne mon dedans par son visage ouvert. La première figure qui sort de ce vide pour le nouveau-né est donc le visage d'une mère, visage-regard respirant et qui donne à l'enfant la certitude d'exister. Dans ce regard, l'enfant trouve son propre visage et le façonne alors pour le dresser ensuite vers le monde.
Il peut être la face du monde car il a trouvé un moule dans le maternel pour se tenir devant, la face haute. Le visage de la mère est un mirador sur la surface de la terre : il est pour l'enfant le premier regard posé sur le monde. (Céline Masson) JE NE ME VOIS PAS et c'est comme si j'avais gardé de moi le visage de l'enfant que j'ai été. Je ne me vois pas pour pouvoir tenir devant moi les yeux ouverts sans jamais changer mon visage.
Je ne me vois pas pour toujours porter le visage de la première fois. Je ne me vois pas pour rester vivant. (Jean-Luc Parant)
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