La vie est libre. Correspondance et critiques 1945-1980

Par : Edith Boissonnas, Jean Dubuffet

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 14 août et le 26 août
      Cet article doit être commandé chez un fournisseur. Votre colis vous sera expédié 8 à 17 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages224
  • PrésentationBroché
  • Poids0.318 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-88182-920-8
  • EAN9782881829208
  • Date de parution22/05/2014
  • ÉditeurEditions Zoé
  • PréfacierMuriel Pic

Résumé

Le lecteur pour qui "la vie est libre" découvrira ce volume avec un plaisir sans mélange. La drôlerie des lettres de Jean Dubuffet (1901-1985) ne le laissera pas sans sourire et il ne pourra qu'être charmé par l'étrange naïveté du style d'Edith Boissonnas (1904-1989). L'immédiate familiarité avec laquelle le peintre s'adresse à la poétesse nous fait entrer de plain-pied dans une correspondance qui commence à l'automne 1945.
Boissonnas, qui vient de quitter la Suisse pour s'installer à Paris, rencontre Dubuffet grâce à Jean Paulhan, son éditeur chez Gallimard. Entre l'écrivaine à ses heures éleveuse de serpent et l'artiste féru de bestiaires, une chose est sûre: il n'est d'art véritable qu'à l'état sauvage. Cette conviction commune donne à la critique de Boissonnas sur le peintre une incroyable justesse et elle anime une correspondance où, des premières aux dernières lettres en 1980, Dubuffet s'impose comme un extraordinaire épistolier.
Le lecteur pour qui "la vie est libre" découvrira ce volume avec un plaisir sans mélange. La drôlerie des lettres de Jean Dubuffet (1901-1985) ne le laissera pas sans sourire et il ne pourra qu'être charmé par l'étrange naïveté du style d'Edith Boissonnas (1904-1989). L'immédiate familiarité avec laquelle le peintre s'adresse à la poétesse nous fait entrer de plain-pied dans une correspondance qui commence à l'automne 1945.
Boissonnas, qui vient de quitter la Suisse pour s'installer à Paris, rencontre Dubuffet grâce à Jean Paulhan, son éditeur chez Gallimard. Entre l'écrivaine à ses heures éleveuse de serpent et l'artiste féru de bestiaires, une chose est sûre: il n'est d'art véritable qu'à l'état sauvage. Cette conviction commune donne à la critique de Boissonnas sur le peintre une incroyable justesse et elle anime une correspondance où, des premières aux dernières lettres en 1980, Dubuffet s'impose comme un extraordinaire épistolier.
Etude
Edith Boissonnas
Grand Format
7,00 €
Initiales
Edith Boissonnas
Grand Format
4,05 €
L'embellie
Edith Boissonnas
Grand Format
3,90 €
Mescaline 55
Edith Boissonnas, Henri Michaux, Jean Paulhan
Grand Format
33,00 €