La route est droite, mais la pente est forte !. Un an déjà
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- Nombre de pages211
- PrésentationBroché
- Poids0.265 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,7 cm
- ISBN2-84114-654-5
- EAN9782841146543
- Date de parution22/05/2003
- ÉditeurRamsay
Résumé
Le 5 mai 2002, Jacques Chirac était réélu à la présidence de la République par plus de 82 % des Français. Le lendemain, il nommait Jean-Pierre Raffarin à Matignon. Le 3 juillet, le nouveau Premier ministre lançait à l'Assemblée " La route est droite, mais la pente est forte ! " Une raffarinade, qui fut le point de départ du journal de bord de Marie-Noëlle Lienemann. Après avoir dressé un bilan sans concessions de la défaite de Lionel Jospin dans Ma part d'inventaire, le livre qui a fait l'événement de la rentrée 2002, Marie-Noëlle Lienemann s'attache aujourd'hui à révéler le vrai visage de Jean-Pierre Raffarin. Voilà un " illusionniste " qui, loin d'avoir tiré les leçons du 21 avril, a " dupé le pays ", " confisqué " le pouvoir avec Jacques Chirac au profit des " copains et coquins de l'UMP", usant de la communication comme d'un écran de fumée destiné à masquer une grave remise en cause de notre modèle social et culturel. " Son décalage de stature avec Chirac est patent. Il fait étriqué. Il a l'air peu sûr de lui et sans prise sur les événements. " L'auteur ne voit dans l'action du gouvernement aucune réponse convaincante à la crise du politique: " Il ne suffit pas de parler de la France d'en bas pour répondre à ses attentes! " Aujourd'hui plus encore qu'hier, la République est en danger. Ce bilan, non dénué d'humour, d'une année de gouvernement à droite est, sans nul doute, le nouveau brûlot qui agitera - et agacera - la classe politique et l'opinion publique françaises.
Le 5 mai 2002, Jacques Chirac était réélu à la présidence de la République par plus de 82 % des Français. Le lendemain, il nommait Jean-Pierre Raffarin à Matignon. Le 3 juillet, le nouveau Premier ministre lançait à l'Assemblée " La route est droite, mais la pente est forte ! " Une raffarinade, qui fut le point de départ du journal de bord de Marie-Noëlle Lienemann. Après avoir dressé un bilan sans concessions de la défaite de Lionel Jospin dans Ma part d'inventaire, le livre qui a fait l'événement de la rentrée 2002, Marie-Noëlle Lienemann s'attache aujourd'hui à révéler le vrai visage de Jean-Pierre Raffarin. Voilà un " illusionniste " qui, loin d'avoir tiré les leçons du 21 avril, a " dupé le pays ", " confisqué " le pouvoir avec Jacques Chirac au profit des " copains et coquins de l'UMP", usant de la communication comme d'un écran de fumée destiné à masquer une grave remise en cause de notre modèle social et culturel. " Son décalage de stature avec Chirac est patent. Il fait étriqué. Il a l'air peu sûr de lui et sans prise sur les événements. " L'auteur ne voit dans l'action du gouvernement aucune réponse convaincante à la crise du politique: " Il ne suffit pas de parler de la France d'en bas pour répondre à ses attentes! " Aujourd'hui plus encore qu'hier, la République est en danger. Ce bilan, non dénué d'humour, d'une année de gouvernement à droite est, sans nul doute, le nouveau brûlot qui agitera - et agacera - la classe politique et l'opinion publique françaises.