La question du consentement au travail. De la servitude volontaire à l'implication contrainte

Par : Marie-Christine Le Floch, Gaëtan Flocco, François Aballéa, Sébastien Jakubowski

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  • Nombre de pages311
  • PrésentationBroché
  • Poids0.415 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,1 cm
  • ISBN2-7475-9927-2
  • EAN9782747599276
  • Date de parution10/11/2006
  • CollectionLogiques sociales
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

L'implication au travail ne cesse d'être une préoccupation centrale des managers et des DRH dans les entreprises ou dans les administrations, préoccupation qu'interrogent à leur tour les chercheurs. Approcher les régimes de mobilisation des salariés nécessite de prendre en compte la pluralité des courants théoriques en présence tout en empruntant aux disciplines voisines (économie, philosophie, psychologie, ethnologie...) leurs démarches et leurs résultats.
C'est ce que propose cet ouvrage en questionnant tout autant ce qui fait courir les salariés que les modes actuels de contrôle du travail. La substitution du modèle de la compétence aux grilles de classifications a mis l'évaluation individuelle au cœur du management des hommes et des relations de travail en induisant l'engagement personnel, la responsabilisation ou en organisant le consentement au travail.
Mais le retrait, la subordination insatisfaite, la simulation ou toute forme de résistance peuvent aussi être les réponses des salariés à ces nouveaux modes de gestion du travail. Parce qu'il interroge les situations et les comportements au plus profond des activités productives salariées, La question du consentement au travail intéresse tous les praticiens (DRH, managers, encadrement de proximité), les chercheurs, les enseignants et les étudiants.
Produit des rencontres du réseau " Travail, Organisation, Emploi " de l'Association française de Sociologie, il embrasse à la fois une grande variété de terrains dans plusieurs branches et une diversité de points de vue théoriques.
L'implication au travail ne cesse d'être une préoccupation centrale des managers et des DRH dans les entreprises ou dans les administrations, préoccupation qu'interrogent à leur tour les chercheurs. Approcher les régimes de mobilisation des salariés nécessite de prendre en compte la pluralité des courants théoriques en présence tout en empruntant aux disciplines voisines (économie, philosophie, psychologie, ethnologie...) leurs démarches et leurs résultats.
C'est ce que propose cet ouvrage en questionnant tout autant ce qui fait courir les salariés que les modes actuels de contrôle du travail. La substitution du modèle de la compétence aux grilles de classifications a mis l'évaluation individuelle au cœur du management des hommes et des relations de travail en induisant l'engagement personnel, la responsabilisation ou en organisant le consentement au travail.
Mais le retrait, la subordination insatisfaite, la simulation ou toute forme de résistance peuvent aussi être les réponses des salariés à ces nouveaux modes de gestion du travail. Parce qu'il interroge les situations et les comportements au plus profond des activités productives salariées, La question du consentement au travail intéresse tous les praticiens (DRH, managers, encadrement de proximité), les chercheurs, les enseignants et les étudiants.
Produit des rencontres du réseau " Travail, Organisation, Emploi " de l'Association française de Sociologie, il embrasse à la fois une grande variété de terrains dans plusieurs branches et une diversité de points de vue théoriques.