La problématique de l'émergence des économies africaines
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- Nombre de pages225
- PrésentationBroché
- Poids0.28 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-343-09525-7
- EAN9782343095257
- Date de parution01/07/2016
- CollectionEtudes africaines
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
A l'heure où les pays industrialisés (Sud-Est asiatique, Europe de l'Ouest, Amérique du Nord) passent irréversiblement de l'international à la globalisation, une question se pose dans les cercles politiques et académiques sur la place des économies africaines. Celles-ci passent-elles de dualisme à la maturité ? Sont-elles en stagnation ? Ne sont-elles pas, si toutes, mais du moins certaines, en régression par rapport aux années qui ont précédé les indépendances ? Sont-elles marginalisées ? Sont-elles extraverties ? Le débat est connu et il rappelle la pensée de R.
Dumont au début des années 60 et de celle de Jacques Giri. A l'époque, Dumont soutenait que le continent était mal parti. Tandis que Giri affirmait en 1986 que l'Afrique était toujours en panne. Aujourd'hui, sous la forme de slogans, les politiciens programment les dates de l'émergence des économies de leurs pays. A les entendre, peut-on dire que l'Afrique est bien repartie après autant d'années d'errance ? Eux-mêmes, se sont-ils débarrassés des fantômes qui les hantent et qu'ils inventent ? Ne sont-ils pas toujours possédés par le goût de l'hédonisme ? Tel est l'intérêt du débat que nous soulevons dans ces pages.
Dumont au début des années 60 et de celle de Jacques Giri. A l'époque, Dumont soutenait que le continent était mal parti. Tandis que Giri affirmait en 1986 que l'Afrique était toujours en panne. Aujourd'hui, sous la forme de slogans, les politiciens programment les dates de l'émergence des économies de leurs pays. A les entendre, peut-on dire que l'Afrique est bien repartie après autant d'années d'errance ? Eux-mêmes, se sont-ils débarrassés des fantômes qui les hantent et qu'ils inventent ? Ne sont-ils pas toujours possédés par le goût de l'hédonisme ? Tel est l'intérêt du débat que nous soulevons dans ces pages.
A l'heure où les pays industrialisés (Sud-Est asiatique, Europe de l'Ouest, Amérique du Nord) passent irréversiblement de l'international à la globalisation, une question se pose dans les cercles politiques et académiques sur la place des économies africaines. Celles-ci passent-elles de dualisme à la maturité ? Sont-elles en stagnation ? Ne sont-elles pas, si toutes, mais du moins certaines, en régression par rapport aux années qui ont précédé les indépendances ? Sont-elles marginalisées ? Sont-elles extraverties ? Le débat est connu et il rappelle la pensée de R.
Dumont au début des années 60 et de celle de Jacques Giri. A l'époque, Dumont soutenait que le continent était mal parti. Tandis que Giri affirmait en 1986 que l'Afrique était toujours en panne. Aujourd'hui, sous la forme de slogans, les politiciens programment les dates de l'émergence des économies de leurs pays. A les entendre, peut-on dire que l'Afrique est bien repartie après autant d'années d'errance ? Eux-mêmes, se sont-ils débarrassés des fantômes qui les hantent et qu'ils inventent ? Ne sont-ils pas toujours possédés par le goût de l'hédonisme ? Tel est l'intérêt du débat que nous soulevons dans ces pages.
Dumont au début des années 60 et de celle de Jacques Giri. A l'époque, Dumont soutenait que le continent était mal parti. Tandis que Giri affirmait en 1986 que l'Afrique était toujours en panne. Aujourd'hui, sous la forme de slogans, les politiciens programment les dates de l'émergence des économies de leurs pays. A les entendre, peut-on dire que l'Afrique est bien repartie après autant d'années d'errance ? Eux-mêmes, se sont-ils débarrassés des fantômes qui les hantent et qu'ils inventent ? Ne sont-ils pas toujours possédés par le goût de l'hédonisme ? Tel est l'intérêt du débat que nous soulevons dans ces pages.