La ponctuation du théâtre imprimé au XVIIe siècle
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- Nombre de pages232
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.515 kg
- Dimensions15,2 cm × 22,2 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-600-01157-0
- EAN9782600011570
- Date de parution01/06/2007
- CollectionTravaux du Grand Siècle
- ÉditeurDroz
Résumé
Etablir l'édition critique d'un texte ancien conduit à s'interroger sur la restitution de la ponctuation trouvée dans les imprimés originaux. Une habitude ancienne consistait plutôt à moderniser un système jugé trop erratique pour être reproduit. La redécouverte des territoires de l'éloquence et des pratiques oratoires a reposé la question de la ponctuation, surtout pour les pièces de théâtre. Un débat s'est alors ouvert entre les partisans de la modernisation et ceux qui prônaient le respect de signes révélateurs d'une déclamation spécifique.
Entre l'intuition des uns, chargeant les pauvres typographes de toutes les bizarreries rencontrées, et la conviction de ceux qui disaient redécouvrir une signalétique des intonations de la voix, s'ouvrait un champ d'incertitude qu'aucune étude n'était venu explorer. Alain Riffaud resitue tout d'abord la querelle de la ponctuation dans son contexte et interroge les discours établissant la ponctuation ancienne en référence à la déclamation de l'orateur ou du comédien.
Mais le corps de l'étude invite surtout à une exploration minutieuse des imprimés de théâtre au XVIIE siècle, car seule la lecture archéologique appliquée à un corpus important permet de clarifier la question de la ponctuation. Le retour vers les ateliers d'imprimerie permet d'estimer la part des responsabilités entre auteurs, libraires et imprimeurs dans le circuit de production, de juger de la qualité typographique, de percevoir les enjeux de la ponctuation, de découvrir les innovations appliquées au théâtre imprimé.
La Ponctuation du théâtre imprimé au XVIIE siècle répond aussi bien à la curiosité de l'amateur qu'à l'interrogation du chercheur qui trouvera des conseils méthodiques pour son édition. Les nombreux documents sur lesquels l'étude s'appuie sont autant de preuves établissant la réalité des faits que d'occasions de découvrir la matière très vivante des imprimés anciens.
Entre l'intuition des uns, chargeant les pauvres typographes de toutes les bizarreries rencontrées, et la conviction de ceux qui disaient redécouvrir une signalétique des intonations de la voix, s'ouvrait un champ d'incertitude qu'aucune étude n'était venu explorer. Alain Riffaud resitue tout d'abord la querelle de la ponctuation dans son contexte et interroge les discours établissant la ponctuation ancienne en référence à la déclamation de l'orateur ou du comédien.
Mais le corps de l'étude invite surtout à une exploration minutieuse des imprimés de théâtre au XVIIE siècle, car seule la lecture archéologique appliquée à un corpus important permet de clarifier la question de la ponctuation. Le retour vers les ateliers d'imprimerie permet d'estimer la part des responsabilités entre auteurs, libraires et imprimeurs dans le circuit de production, de juger de la qualité typographique, de percevoir les enjeux de la ponctuation, de découvrir les innovations appliquées au théâtre imprimé.
La Ponctuation du théâtre imprimé au XVIIE siècle répond aussi bien à la curiosité de l'amateur qu'à l'interrogation du chercheur qui trouvera des conseils méthodiques pour son édition. Les nombreux documents sur lesquels l'étude s'appuie sont autant de preuves établissant la réalité des faits que d'occasions de découvrir la matière très vivante des imprimés anciens.
Etablir l'édition critique d'un texte ancien conduit à s'interroger sur la restitution de la ponctuation trouvée dans les imprimés originaux. Une habitude ancienne consistait plutôt à moderniser un système jugé trop erratique pour être reproduit. La redécouverte des territoires de l'éloquence et des pratiques oratoires a reposé la question de la ponctuation, surtout pour les pièces de théâtre. Un débat s'est alors ouvert entre les partisans de la modernisation et ceux qui prônaient le respect de signes révélateurs d'une déclamation spécifique.
Entre l'intuition des uns, chargeant les pauvres typographes de toutes les bizarreries rencontrées, et la conviction de ceux qui disaient redécouvrir une signalétique des intonations de la voix, s'ouvrait un champ d'incertitude qu'aucune étude n'était venu explorer. Alain Riffaud resitue tout d'abord la querelle de la ponctuation dans son contexte et interroge les discours établissant la ponctuation ancienne en référence à la déclamation de l'orateur ou du comédien.
Mais le corps de l'étude invite surtout à une exploration minutieuse des imprimés de théâtre au XVIIE siècle, car seule la lecture archéologique appliquée à un corpus important permet de clarifier la question de la ponctuation. Le retour vers les ateliers d'imprimerie permet d'estimer la part des responsabilités entre auteurs, libraires et imprimeurs dans le circuit de production, de juger de la qualité typographique, de percevoir les enjeux de la ponctuation, de découvrir les innovations appliquées au théâtre imprimé.
La Ponctuation du théâtre imprimé au XVIIE siècle répond aussi bien à la curiosité de l'amateur qu'à l'interrogation du chercheur qui trouvera des conseils méthodiques pour son édition. Les nombreux documents sur lesquels l'étude s'appuie sont autant de preuves établissant la réalité des faits que d'occasions de découvrir la matière très vivante des imprimés anciens.
Entre l'intuition des uns, chargeant les pauvres typographes de toutes les bizarreries rencontrées, et la conviction de ceux qui disaient redécouvrir une signalétique des intonations de la voix, s'ouvrait un champ d'incertitude qu'aucune étude n'était venu explorer. Alain Riffaud resitue tout d'abord la querelle de la ponctuation dans son contexte et interroge les discours établissant la ponctuation ancienne en référence à la déclamation de l'orateur ou du comédien.
Mais le corps de l'étude invite surtout à une exploration minutieuse des imprimés de théâtre au XVIIE siècle, car seule la lecture archéologique appliquée à un corpus important permet de clarifier la question de la ponctuation. Le retour vers les ateliers d'imprimerie permet d'estimer la part des responsabilités entre auteurs, libraires et imprimeurs dans le circuit de production, de juger de la qualité typographique, de percevoir les enjeux de la ponctuation, de découvrir les innovations appliquées au théâtre imprimé.
La Ponctuation du théâtre imprimé au XVIIE siècle répond aussi bien à la curiosité de l'amateur qu'à l'interrogation du chercheur qui trouvera des conseils méthodiques pour son édition. Les nombreux documents sur lesquels l'étude s'appuie sont autant de preuves établissant la réalité des faits que d'occasions de découvrir la matière très vivante des imprimés anciens.