Portraits de femmes, ce roman triste nous montre que l'on n'évite pas le destin, de mère en fille, les situations se répètent. Celles qui ont souffert ne font pas de bonnes mères, martèle Jonathan Coe. Si l'idée de la description des photos m'a tout d'abord paru originale, j'ai vite trouvé que ce procédé mettait de la distance entre les personnages et moi-même et l'histoire, censée être tragique, m'a laissée de marbre. J'ai aimé le début du parcours de Rosamund qui découvre et accepte son homosexualité, s'installe à Londres mais ensuite, je l'ai trouvé très attentiste et je n'ai pas compris pourquoi elle se sentait à ce point liée à la famille de Beatrix. Je n'ai jamais ressenti d'empathie pour Beatrix et ces descendantes. Et puis, je reste perplexe sur la double scène du chien (que je ne peux vous expliquer si vous n'avez pas lu le roman), je ne comprends pas ce que l'auteur veut prouver.
Ceci-dit, c'est un roman qui se laisse écouter mais que je vais très vite oublier, je le sens.
Portraits de femmes, ce roman triste nous montre que l'on n'évite pas le destin, de mère en fille, les situations se répètent. Celles qui ont souffert ne font pas de bonnes mères, martèle Jonathan Coe. Si l'idée de la description des photos m'a tout d'abord paru originale, j'ai vite trouvé que ce procédé mettait de la distance entre les personnages et moi-même et l'histoire, censée être tragique, m'a laissée de marbre. J'ai aimé le début du parcours de Rosamund qui découvre et accepte son homosexualité, s'installe à Londres mais ensuite, je l'ai trouvé très attentiste et je n'ai pas compris pourquoi elle se sentait à ce point liée à la famille de Beatrix. Je n'ai jamais ressenti d'empathie pour Beatrix et ces descendantes. Et puis, je reste perplexe sur la double scène du chien (que je ne peux vous expliquer si vous n'avez pas lu le roman), je ne comprends pas ce que l'auteur veut prouver.
Ceci-dit, c'est un roman qui se laisse écouter mais que je vais très vite oublier, je le sens.