La place centrale du français dans les héritages linguistiques du wolof
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- Nombre de pages106
- PrésentationBroché
- Poids0.145 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-296-99902-2
- EAN9782296999022
- Date de parution01/11/2014
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierMomar Cissé
Résumé
"Dans cette recherche, le polyglotte sénégalais Ahmed Khalifa Niasse se donne pour objectif général de faire connaître et sa position sur l'origine du wolof qu'il présente comme un carrefour de langues aussi bien africaines, européennes qu'asiatiques, et le résultat des échanges linguistiques entre le français et ce wolof, deux langues qui vivent ensemble depuis déjà très longtemps au Sénégal. (...) L'étude est bien menée, remarquablement structurée.
Elle présente d'abord le peuple wolof, son origine et sa répartition sur le territoire sénégalais. Ensuite la langue wolof pour laquelle elle s'est intéressée tour à tour à l'apparentement linguistique, aux contacts avec les langues environnantes, aux différents parlers. Après un bref rappel des différentes phases d'occupation coloniale du Sénégal, M. Niasse a, par la suite, posé la problématique des héritages linguistiques qui en ont résulté.
C'est ainsi qu'il a mis en relief les apports hollandais, portugais, anglais et français au wolof, avant de se consacrer à l'inventaire des emprunts wolof au français, riche de près de mille deux cents (1200) mots relevant de divers domaines de la vie. Un lexique dit étymologique clôt enfin l'étude."
Elle présente d'abord le peuple wolof, son origine et sa répartition sur le territoire sénégalais. Ensuite la langue wolof pour laquelle elle s'est intéressée tour à tour à l'apparentement linguistique, aux contacts avec les langues environnantes, aux différents parlers. Après un bref rappel des différentes phases d'occupation coloniale du Sénégal, M. Niasse a, par la suite, posé la problématique des héritages linguistiques qui en ont résulté.
C'est ainsi qu'il a mis en relief les apports hollandais, portugais, anglais et français au wolof, avant de se consacrer à l'inventaire des emprunts wolof au français, riche de près de mille deux cents (1200) mots relevant de divers domaines de la vie. Un lexique dit étymologique clôt enfin l'étude."
"Dans cette recherche, le polyglotte sénégalais Ahmed Khalifa Niasse se donne pour objectif général de faire connaître et sa position sur l'origine du wolof qu'il présente comme un carrefour de langues aussi bien africaines, européennes qu'asiatiques, et le résultat des échanges linguistiques entre le français et ce wolof, deux langues qui vivent ensemble depuis déjà très longtemps au Sénégal. (...) L'étude est bien menée, remarquablement structurée.
Elle présente d'abord le peuple wolof, son origine et sa répartition sur le territoire sénégalais. Ensuite la langue wolof pour laquelle elle s'est intéressée tour à tour à l'apparentement linguistique, aux contacts avec les langues environnantes, aux différents parlers. Après un bref rappel des différentes phases d'occupation coloniale du Sénégal, M. Niasse a, par la suite, posé la problématique des héritages linguistiques qui en ont résulté.
C'est ainsi qu'il a mis en relief les apports hollandais, portugais, anglais et français au wolof, avant de se consacrer à l'inventaire des emprunts wolof au français, riche de près de mille deux cents (1200) mots relevant de divers domaines de la vie. Un lexique dit étymologique clôt enfin l'étude."
Elle présente d'abord le peuple wolof, son origine et sa répartition sur le territoire sénégalais. Ensuite la langue wolof pour laquelle elle s'est intéressée tour à tour à l'apparentement linguistique, aux contacts avec les langues environnantes, aux différents parlers. Après un bref rappel des différentes phases d'occupation coloniale du Sénégal, M. Niasse a, par la suite, posé la problématique des héritages linguistiques qui en ont résulté.
C'est ainsi qu'il a mis en relief les apports hollandais, portugais, anglais et français au wolof, avant de se consacrer à l'inventaire des emprunts wolof au français, riche de près de mille deux cents (1200) mots relevant de divers domaines de la vie. Un lexique dit étymologique clôt enfin l'étude."