La peau analogique-3-peau de papier
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- Nombre de pages264
- PrésentationBroché
- Poids0.254 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,8 cm
- ISBN979-10-96413-66-9
- EAN9791096413669
- Date de parution06/10/2022
- ÉditeurDONJON
Résumé
Peau et papier trouvent une même voix mélodieuse, parfois dissonante pour ajouter du piquant à l'existence qui se fond dans ses replis. Le dialogue qui s'instaure entre Corinne Déchelette et Patrick Moureaux cartographie la grande histoire de l'homme qui utilise la peau animale, puis sa propre peau comme un livre ouvert, éternel. Il est question de son identité, soulignant dans le même temps la précarité des enveloppes (peau et papier) que le temps altère, et de ses inventions pour vaincre ce qui n'est pas immuable mais changeant.
A ce dialogue s'ajoute les dessins d'Isabelle Coll dont la ligne, parfois hachurée, à d'autres moments pleine et lisse, capture et retient, donne relief à une déambulation rêveuse. Elle nous invite à cheminer entre creux et pleins, surface et profondeur du papier et de la peau, du corps et à ce qui le recouvre comme les feuillets du temps qui tournent à l'infini dans notre imaginaire. Extrait de la préface de Martine COLIGNON, diplômée des Beaux-Art de Paris, plasticienne et art-thérapeute.
A ce dialogue s'ajoute les dessins d'Isabelle Coll dont la ligne, parfois hachurée, à d'autres moments pleine et lisse, capture et retient, donne relief à une déambulation rêveuse. Elle nous invite à cheminer entre creux et pleins, surface et profondeur du papier et de la peau, du corps et à ce qui le recouvre comme les feuillets du temps qui tournent à l'infini dans notre imaginaire. Extrait de la préface de Martine COLIGNON, diplômée des Beaux-Art de Paris, plasticienne et art-thérapeute.
Peau et papier trouvent une même voix mélodieuse, parfois dissonante pour ajouter du piquant à l'existence qui se fond dans ses replis. Le dialogue qui s'instaure entre Corinne Déchelette et Patrick Moureaux cartographie la grande histoire de l'homme qui utilise la peau animale, puis sa propre peau comme un livre ouvert, éternel. Il est question de son identité, soulignant dans le même temps la précarité des enveloppes (peau et papier) que le temps altère, et de ses inventions pour vaincre ce qui n'est pas immuable mais changeant.
A ce dialogue s'ajoute les dessins d'Isabelle Coll dont la ligne, parfois hachurée, à d'autres moments pleine et lisse, capture et retient, donne relief à une déambulation rêveuse. Elle nous invite à cheminer entre creux et pleins, surface et profondeur du papier et de la peau, du corps et à ce qui le recouvre comme les feuillets du temps qui tournent à l'infini dans notre imaginaire. Extrait de la préface de Martine COLIGNON, diplômée des Beaux-Art de Paris, plasticienne et art-thérapeute.
A ce dialogue s'ajoute les dessins d'Isabelle Coll dont la ligne, parfois hachurée, à d'autres moments pleine et lisse, capture et retient, donne relief à une déambulation rêveuse. Elle nous invite à cheminer entre creux et pleins, surface et profondeur du papier et de la peau, du corps et à ce qui le recouvre comme les feuillets du temps qui tournent à l'infini dans notre imaginaire. Extrait de la préface de Martine COLIGNON, diplômée des Beaux-Art de Paris, plasticienne et art-thérapeute.