La Maréchal Moncey

Par : Michel Molières

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  • Nombre de pages250
  • PrésentationBroché
  • Poids0.355 kg
  • Dimensions14,5 cm × 22,4 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-914288-18-2
  • EAN9782914288187
  • Date de parution09/09/2004
  • ÉditeurLe livre chez vous/LCV

Résumé

Grand personnage du Premier Empire, le Maréchal Moncey (1754-1842) est souvent resté dans l'ombre, il est pratiquement inconnu des amateurs d'histoire. Cependant, derrière le visage impénétrable du " premier gendarme de Napoléon ", se cache un chef de guerre consommé, un soldat valeureux, un administrateur remarquable, un fidèle parmi les fidèles. Probe, incorruptible, homme de principes, il refusera de siéger au procès de Ney, quitte à déplaire au nouveau pouvoir en place. Doyen des maréchaux, il implorera son médecin de le faire " vivre encore un peu ", afin de pouvoir accueillir la dépouille mortelle de son Empereur en 1840 en tant que gouverneur des Invalides - et il le fera, avec émotion, porté dans un fauteuil, murmurant à la fin de la cérémonie : " A présent, rentrons mourir "... Intransigeant sur l'honneur et le devoir, il s'attirera cette remarque de Napoléon : " Moncey était un honnête homme " - un éloge rare, auquel ne pourraient aucunement prétendre plusieurs maréchaux d'Empire ! Des campagnes de la Révolution jusqu'au Retour des Cendres, suivez ce personnage attachant, qui mérite une place plus importante dans la légende napoléonienne.
Grand personnage du Premier Empire, le Maréchal Moncey (1754-1842) est souvent resté dans l'ombre, il est pratiquement inconnu des amateurs d'histoire. Cependant, derrière le visage impénétrable du " premier gendarme de Napoléon ", se cache un chef de guerre consommé, un soldat valeureux, un administrateur remarquable, un fidèle parmi les fidèles. Probe, incorruptible, homme de principes, il refusera de siéger au procès de Ney, quitte à déplaire au nouveau pouvoir en place. Doyen des maréchaux, il implorera son médecin de le faire " vivre encore un peu ", afin de pouvoir accueillir la dépouille mortelle de son Empereur en 1840 en tant que gouverneur des Invalides - et il le fera, avec émotion, porté dans un fauteuil, murmurant à la fin de la cérémonie : " A présent, rentrons mourir "... Intransigeant sur l'honneur et le devoir, il s'attirera cette remarque de Napoléon : " Moncey était un honnête homme " - un éloge rare, auquel ne pourraient aucunement prétendre plusieurs maréchaux d'Empire ! Des campagnes de la Révolution jusqu'au Retour des Cendres, suivez ce personnage attachant, qui mérite une place plus importante dans la légende napoléonienne.