Prix Nobel de Littérature
La maison de Matriona suivie de L'inconnu de Krétchétovka et Pour le bien de la cause
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- Nombre de pages285
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.19 kg
- Dimensions12,2 cm × 18,2 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-221-19580-2
- EAN9782221195802
- Date de parution01/05/2016
- CollectionPavillons poche
- ÉditeurRobert Laffont
- TraducteurLéon Robel
- TraducteurAndrée Robel
Résumé
La traduction de ce chef-d'oeuvre est venue révéler en 1966 aux lecteurs français un autre territoire du continent Soljénitsyne. On y découvre l'attachement viscéral de l'auteur aux racines les plus profondes de l'âme de son grand pays à travers la simple histoire de Matriona, femme " humble et juste " dans l'isba de laquelle le narrateur - un instituteur à peine sorti d'un camp, avec qui l'auteur semble se confondre - trouve le refuge auquel il aspirait.
Dans cette campagne, certes collectivisée, prolétarisée, survit encore l'esprit de la paysannerie. On a pu dire de ce livre qu'il avait été écrit pour l'éternité et il est vrai que dans ces quelques pages, la force évocatrice de Soljenitsyne atteint une incomparable intensité. " Un éloge de la vieille paysanne russe, aussi simple que sainte, un beau récit dans une veine campagnarde russissime. " Libération
Dans cette campagne, certes collectivisée, prolétarisée, survit encore l'esprit de la paysannerie. On a pu dire de ce livre qu'il avait été écrit pour l'éternité et il est vrai que dans ces quelques pages, la force évocatrice de Soljenitsyne atteint une incomparable intensité. " Un éloge de la vieille paysanne russe, aussi simple que sainte, un beau récit dans une veine campagnarde russissime. " Libération
La traduction de ce chef-d'oeuvre est venue révéler en 1966 aux lecteurs français un autre territoire du continent Soljénitsyne. On y découvre l'attachement viscéral de l'auteur aux racines les plus profondes de l'âme de son grand pays à travers la simple histoire de Matriona, femme " humble et juste " dans l'isba de laquelle le narrateur - un instituteur à peine sorti d'un camp, avec qui l'auteur semble se confondre - trouve le refuge auquel il aspirait.
Dans cette campagne, certes collectivisée, prolétarisée, survit encore l'esprit de la paysannerie. On a pu dire de ce livre qu'il avait été écrit pour l'éternité et il est vrai que dans ces quelques pages, la force évocatrice de Soljenitsyne atteint une incomparable intensité. " Un éloge de la vieille paysanne russe, aussi simple que sainte, un beau récit dans une veine campagnarde russissime. " Libération
Dans cette campagne, certes collectivisée, prolétarisée, survit encore l'esprit de la paysannerie. On a pu dire de ce livre qu'il avait été écrit pour l'éternité et il est vrai que dans ces quelques pages, la force évocatrice de Soljenitsyne atteint une incomparable intensité. " Un éloge de la vieille paysanne russe, aussi simple que sainte, un beau récit dans une veine campagnarde russissime. " Libération