Prix Nobel de Littérature
La lune se couche. Suivi de Ashes to ashes ; Langue de la montagne ; Une soirée entre amis et autres textes
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- Nombre de pages138
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.185 kg
- Dimensions14,1 cm × 20,7 cm × 1,3 cm
- ISBN2-07-075161-9
- EAN9782070751617
- Date de parution12/02/1998
- CollectionDu monde entier
- ÉditeurGallimard
Résumé
Depuis sa première pièce, en 1957, Harold Pinter s'est imposé au premier rang des dramaturges anglais, et sa notoriété s'est étendue au monde entier. Il a écrit plus d'une trentaine de pièces, qui marquent une extraordinaire constance dans son évolution créatrice. Elles englobent toutes les mêmes ingrédients de base : l'absurde, l'humour, l'affrontement dominant-dominé, l'économie d'un langage étincelant, tantôt picaresque, tantôt lyrique..
Et, surtout, la dénonciation (feutrée au début, véhémente depuis une dizaine d'années) des totalitarismes, qu'ils soient domestiques ou planétaires, intellectuels, sociaux ou politiques, qui broient l'homme sous le poids de périls connus ou insidieux. Dans sa vie comme dans son oeuvre, Pinter est depuis toujours un militant de la cause de l'homme. L'écrivain et le citoyen ne font qu'un. Graduellement, le ton s'est fait plus grave, plus urgent, même si affleurent toujours le rire, la jubilation des mots, et un jeu de bascule vertigineux entre réalisme et abstraction.
On en verra la preuve dans ces toutes dernières oeuvres, des brûlots politiques et libertaires qui, sous le masque des jeux du théâtre, traquent les tortionnaires, sous quelques cieux qu'ils opèrent.
Et, surtout, la dénonciation (feutrée au début, véhémente depuis une dizaine d'années) des totalitarismes, qu'ils soient domestiques ou planétaires, intellectuels, sociaux ou politiques, qui broient l'homme sous le poids de périls connus ou insidieux. Dans sa vie comme dans son oeuvre, Pinter est depuis toujours un militant de la cause de l'homme. L'écrivain et le citoyen ne font qu'un. Graduellement, le ton s'est fait plus grave, plus urgent, même si affleurent toujours le rire, la jubilation des mots, et un jeu de bascule vertigineux entre réalisme et abstraction.
On en verra la preuve dans ces toutes dernières oeuvres, des brûlots politiques et libertaires qui, sous le masque des jeux du théâtre, traquent les tortionnaires, sous quelques cieux qu'ils opèrent.
Depuis sa première pièce, en 1957, Harold Pinter s'est imposé au premier rang des dramaturges anglais, et sa notoriété s'est étendue au monde entier. Il a écrit plus d'une trentaine de pièces, qui marquent une extraordinaire constance dans son évolution créatrice. Elles englobent toutes les mêmes ingrédients de base : l'absurde, l'humour, l'affrontement dominant-dominé, l'économie d'un langage étincelant, tantôt picaresque, tantôt lyrique..
Et, surtout, la dénonciation (feutrée au début, véhémente depuis une dizaine d'années) des totalitarismes, qu'ils soient domestiques ou planétaires, intellectuels, sociaux ou politiques, qui broient l'homme sous le poids de périls connus ou insidieux. Dans sa vie comme dans son oeuvre, Pinter est depuis toujours un militant de la cause de l'homme. L'écrivain et le citoyen ne font qu'un. Graduellement, le ton s'est fait plus grave, plus urgent, même si affleurent toujours le rire, la jubilation des mots, et un jeu de bascule vertigineux entre réalisme et abstraction.
On en verra la preuve dans ces toutes dernières oeuvres, des brûlots politiques et libertaires qui, sous le masque des jeux du théâtre, traquent les tortionnaires, sous quelques cieux qu'ils opèrent.
Et, surtout, la dénonciation (feutrée au début, véhémente depuis une dizaine d'années) des totalitarismes, qu'ils soient domestiques ou planétaires, intellectuels, sociaux ou politiques, qui broient l'homme sous le poids de périls connus ou insidieux. Dans sa vie comme dans son oeuvre, Pinter est depuis toujours un militant de la cause de l'homme. L'écrivain et le citoyen ne font qu'un. Graduellement, le ton s'est fait plus grave, plus urgent, même si affleurent toujours le rire, la jubilation des mots, et un jeu de bascule vertigineux entre réalisme et abstraction.
On en verra la preuve dans ces toutes dernières oeuvres, des brûlots politiques et libertaires qui, sous le masque des jeux du théâtre, traquent les tortionnaires, sous quelques cieux qu'ils opèrent.