La haine de la culture. Pourquoi les démocraties ont besoin de citoyens cultivés

Par : Konrad Paul Liessmann
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  • Nombre de pages224
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.297 kg
  • Dimensions14,2 cm × 22,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-200-62792-8
  • EAN9782200627928
  • Date de parution16/09/2020
  • ÉditeurArmand Colin
  • TraducteurSusanne Kruse
  • TraducteurHervé Soulaire

Résumé

Tout le monde parle de culture, de formation, d'éducation. C'est devenu une doctrine laïque du salut permettant de résoudre tous les problèmes - de la lutte contre la pauvreté à l'intégration des migrants, du changement climatique à la lutte contre le terrorisme. Mais alors que la culture est devenue un slogan omniprésent dans notre société, les revendications culturelles sérieuses sont paradoxalement ressenties comme des provocations élitistes issues d'un âge révolu.
Konrad Paul Liessmann, philosophe autrichien dont ce livre est la première oeuvre traduite en français, dénonce la barbarie intellectuelle engendrée par le primat de l'économie et de la technologie, particulièrement dévastateur depuis l'avènement du réseau informatique mondial. Réfléchissant au discours moralisateur du politiquement correct, qui confond instruction et compétences, il pointe un renversement des valeurs - mortel pour l'Europe - conduisant à une véritable haine de la formation classique du citoyen à la liberté.
Tout le monde parle de culture, de formation, d'éducation. C'est devenu une doctrine laïque du salut permettant de résoudre tous les problèmes - de la lutte contre la pauvreté à l'intégration des migrants, du changement climatique à la lutte contre le terrorisme. Mais alors que la culture est devenue un slogan omniprésent dans notre société, les revendications culturelles sérieuses sont paradoxalement ressenties comme des provocations élitistes issues d'un âge révolu.
Konrad Paul Liessmann, philosophe autrichien dont ce livre est la première oeuvre traduite en français, dénonce la barbarie intellectuelle engendrée par le primat de l'économie et de la technologie, particulièrement dévastateur depuis l'avènement du réseau informatique mondial. Réfléchissant au discours moralisateur du politiquement correct, qui confond instruction et compétences, il pointe un renversement des valeurs - mortel pour l'Europe - conduisant à une véritable haine de la formation classique du citoyen à la liberté.