La haine de Dieu
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- Nombre de pages180
- PrésentationBroché
- Poids0.245 kg
- Dimensions14,5 cm × 22,0 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-36040-039-3
- EAN9782360400393
- Date de parution15/10/2011
- ÉditeurArtège
Résumé
La société occidentale connaît une crise morale, existentielle mais aussi économique. La volonté de puissance individuelle semble l'emporter sur toute autre considération et malgré cela certains intellectuels médiatiques se font fort de dénoncer le retour en force d'un Dieu castrateur et liberticide dont Nietzsche avait pourtant annoncé la mort ! Libérer l'homme contemporain des chaînes millénaires du christianisme, tel est donc le mot d'ordre lancé par ces fiers soldats dont la prétendue révolte tourne vite à la quête hédoniste.
Comment croire qu'une telle philosophie constituerait une révolte métaphysique ? Elle ne fait que refléter l'esprit d'un temps qui voit l'homme chercher à fuir ses responsabilités et même sa propre condition. Fuir la question de Dieu en transformant celui-ci en coupable idéal d'un procès absurde n'est pas seulement le signe d'une haine à l'encontre de Dieu lui-même mais bien la marque avérée d'une haine de la philosophie en tant que telle, haine qui immanquablement se transforme en détestation de l'homme.
Stéphane Babey porte ici un regard original sur la question de Dieu : il n'est pas un chrétien engagé qui transmettrait l'enseignement reçue d'une église. Il est un homme de bonne volonté, un compagnon encore sur le "Parvis des gentils" qui, par amour de la philosophie, dénonce et réfute les raccourcis et les fausses accusations dont Dieu est la cible.
Comment croire qu'une telle philosophie constituerait une révolte métaphysique ? Elle ne fait que refléter l'esprit d'un temps qui voit l'homme chercher à fuir ses responsabilités et même sa propre condition. Fuir la question de Dieu en transformant celui-ci en coupable idéal d'un procès absurde n'est pas seulement le signe d'une haine à l'encontre de Dieu lui-même mais bien la marque avérée d'une haine de la philosophie en tant que telle, haine qui immanquablement se transforme en détestation de l'homme.
Stéphane Babey porte ici un regard original sur la question de Dieu : il n'est pas un chrétien engagé qui transmettrait l'enseignement reçue d'une église. Il est un homme de bonne volonté, un compagnon encore sur le "Parvis des gentils" qui, par amour de la philosophie, dénonce et réfute les raccourcis et les fausses accusations dont Dieu est la cible.
La société occidentale connaît une crise morale, existentielle mais aussi économique. La volonté de puissance individuelle semble l'emporter sur toute autre considération et malgré cela certains intellectuels médiatiques se font fort de dénoncer le retour en force d'un Dieu castrateur et liberticide dont Nietzsche avait pourtant annoncé la mort ! Libérer l'homme contemporain des chaînes millénaires du christianisme, tel est donc le mot d'ordre lancé par ces fiers soldats dont la prétendue révolte tourne vite à la quête hédoniste.
Comment croire qu'une telle philosophie constituerait une révolte métaphysique ? Elle ne fait que refléter l'esprit d'un temps qui voit l'homme chercher à fuir ses responsabilités et même sa propre condition. Fuir la question de Dieu en transformant celui-ci en coupable idéal d'un procès absurde n'est pas seulement le signe d'une haine à l'encontre de Dieu lui-même mais bien la marque avérée d'une haine de la philosophie en tant que telle, haine qui immanquablement se transforme en détestation de l'homme.
Stéphane Babey porte ici un regard original sur la question de Dieu : il n'est pas un chrétien engagé qui transmettrait l'enseignement reçue d'une église. Il est un homme de bonne volonté, un compagnon encore sur le "Parvis des gentils" qui, par amour de la philosophie, dénonce et réfute les raccourcis et les fausses accusations dont Dieu est la cible.
Comment croire qu'une telle philosophie constituerait une révolte métaphysique ? Elle ne fait que refléter l'esprit d'un temps qui voit l'homme chercher à fuir ses responsabilités et même sa propre condition. Fuir la question de Dieu en transformant celui-ci en coupable idéal d'un procès absurde n'est pas seulement le signe d'une haine à l'encontre de Dieu lui-même mais bien la marque avérée d'une haine de la philosophie en tant que telle, haine qui immanquablement se transforme en détestation de l'homme.
Stéphane Babey porte ici un regard original sur la question de Dieu : il n'est pas un chrétien engagé qui transmettrait l'enseignement reçue d'une église. Il est un homme de bonne volonté, un compagnon encore sur le "Parvis des gentils" qui, par amour de la philosophie, dénonce et réfute les raccourcis et les fausses accusations dont Dieu est la cible.