Le dernier Kundera est court, même très court.
7 parties ou chapitres pour une très grosse centaine de pages utilisant une grande police et un interligne important.
Étonnant quand on connait l'auteur. Est ce le livre de trop? N'a t il plus rien à dire? ...
Je n'aurai pas la prétention de répondre à cette question. Néanmoins, ce que je peux dire, c'est que j'ai apprécié ce livre. Il est rafraîchissant, atypique et sort vraiment de l'ordinaire. Magnifique écriture complètement décalée, comme souvent avec Kundera.
On a l'impression que cela n'a ni queue ni tête, que c'est désordonné... un vrai puzzle qui s'assemble et se conclut assez magistralement sur l'explication de la fête de l'insignifiance.
Le clou du spectacle étant l'apparition absurde de Staline et l'histoire des 24 perdrix.
Des références à Kant, des références à Hegel, à la recherche du bien être... bref on ne s'ennuie pas, on avale littéralement le livre (je vous conseille d'ailleurs de le lire d'une traite) et on passe un très bon moment.
Sur la plage ou un soir sur le canapé après le travail, foncez! Ce n'est pas le meilleur de l'auteur mais c'est une très belle conclusion de son oeuvre (de nombreux indices dans le livre le laisse croire). A moins que comme à son habitude, il joue avec nous...;-)
Le dernier Kundera est court, même très court.
7 parties ou chapitres pour une très grosse centaine de pages utilisant une grande police et un interligne important.
Étonnant quand on connait l'auteur. Est ce le livre de trop? N'a t il plus rien à dire? ...
Je n'aurai pas la prétention de répondre à cette question. Néanmoins, ce que je peux dire, c'est que j'ai apprécié ce livre. Il est rafraîchissant, atypique et sort vraiment de l'ordinaire. Magnifique écriture complètement décalée, comme souvent avec Kundera.
On a l'impression que cela n'a ni queue ni tête, que c'est désordonné... un vrai puzzle qui s'assemble et se conclut assez magistralement sur l'explication de la fête de l'insignifiance.
Le clou du spectacle étant l'apparition absurde de Staline et l'histoire des 24 perdrix.
Des références à Kant, des références à Hegel, à la recherche du bien être... bref on ne s'ennuie pas, on avale littéralement le livre (je vous conseille d'ailleurs de le lire d'une traite) et on passe un très bon moment.
Sur la plage ou un soir sur le canapé après le travail, foncez! Ce n'est pas le meilleur de l'auteur mais c'est une très belle conclusion de son oeuvre (de nombreux indices dans le livre le laisse croire). A moins que comme à son habitude, il joue avec nous...;-)