La Fable du monde suivi de Oublieuse mémoire

Par : Jules Supervielle
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 24 juin et le 26 juin
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Disponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages288
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.224 kg
  • Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-07-032441-5
  • EAN9782070324415
  • Date de parution01/10/2012
  • CollectionPoésie
  • ÉditeurGallimard
  • PréfacierJean Gaudon

Résumé

"Aux grenouilles de la modernité qui n'en finissent pas de se faire aussi grosses que le boeuf, aux éléphants poétiques gambadant dans la forêt de l'Etre, Supervielle répond par la fable, et prête aux dieux, aux bêtes et aux arbres sa parole ou son silence. Il faut, cela va de soi, mettre Dieu au singulier. Même s'il arrive à Vénus, au corps "plein de lignes", de faire une brèche dans ce monothéisme poétique, le pluriel nous entraînerait dans un réseau par trop archaïque.
Un seul Dieu, donc, paré d'une majuscule, en qui l'on reconnaîtra un cousin éloigné de celui de la Genèse, respectant grosso modo la chronologie biblique. "Si je crois en Dieu, ce n'est qu'en poésie", disait Supervielle à Nadal. Prenons au pied de la lettre cette déclaration, non pour sa portée religieuse ou métaphysique, qui n'est pas notre affaire, mais pour sa portée poétique. Dieu est ici ce que les rhétoriciens appelleraient une fiction.
" Jean Gaudon.
"Aux grenouilles de la modernité qui n'en finissent pas de se faire aussi grosses que le boeuf, aux éléphants poétiques gambadant dans la forêt de l'Etre, Supervielle répond par la fable, et prête aux dieux, aux bêtes et aux arbres sa parole ou son silence. Il faut, cela va de soi, mettre Dieu au singulier. Même s'il arrive à Vénus, au corps "plein de lignes", de faire une brèche dans ce monothéisme poétique, le pluriel nous entraînerait dans un réseau par trop archaïque.
Un seul Dieu, donc, paré d'une majuscule, en qui l'on reconnaîtra un cousin éloigné de celui de la Genèse, respectant grosso modo la chronologie biblique. "Si je crois en Dieu, ce n'est qu'en poésie", disait Supervielle à Nadal. Prenons au pied de la lettre cette déclaration, non pour sa portée religieuse ou métaphysique, qui n'est pas notre affaire, mais pour sa portée poétique. Dieu est ici ce que les rhétoriciens appelleraient une fiction.
" Jean Gaudon.
L'Enfant de la haute mer
5/5
Jules Supervielle
E-book
5,99 €
Le Voleur d'enfants
Jules Supervielle
E-book
7,49 €
L'homme de la Pampa
Jules Supervielle
E-book
9,49 €
L'Arche de Noé
Jules Supervielle
E-book
8,49 €
Gravitations, de Supervielle
Jacques Robichez, Jules Supervielle
E-book
7,99 €