La démence du percolateur. Courtes rêveries sur les machines et les émotions
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- Nombre de pages171
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.215 kg
- Dimensions13,1 cm × 20,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-85061-173-5
- EAN9782850611735
- Date de parution26/01/2023
- ÉditeurPremier Parallèle
Résumé
Après la Mélancolie du pot de yaourt (2020), Philippe Garnier raconte la folle intimité qui nous unit aux innombrables machines du quotidien. " Dans les salles des ventes, les habitués du premier rang font monter les enchères par des signaux discrets. Seul le commissaire-priseur repère le léger froncement des sourcils, le clignement des paupières. C'est peut-être ainsi que nous devrons nous adresser aux machines.
Chacun disposera de son langage facial qui servira à la fois d'ordre et de signature. L'un fera démarrer son véhicule par une moue dubitative, l'autre allumera son téléphone par un sourire en coin. Il est en effet souhaitable que nous gardions un léger signal extérieur à produire et que nos pensées ne soient pas intégralementlisibles. " Après Mélancolie du pot de yaourt, Philippe Garnier entreprend d'ausculter ce grand monde des machines qui nous a déjà absorbés.
D'une plume tranchante et sans rien sacrifier à son goût de l'absurde, depuis la douceur inflexible des manivelles jusqu'à l'ennui des gardiens de data centers, il propose autant de rêveries tendres et implacables sur les rouages et les algorithmes qui nous gouvernent.
Chacun disposera de son langage facial qui servira à la fois d'ordre et de signature. L'un fera démarrer son véhicule par une moue dubitative, l'autre allumera son téléphone par un sourire en coin. Il est en effet souhaitable que nous gardions un léger signal extérieur à produire et que nos pensées ne soient pas intégralementlisibles. " Après Mélancolie du pot de yaourt, Philippe Garnier entreprend d'ausculter ce grand monde des machines qui nous a déjà absorbés.
D'une plume tranchante et sans rien sacrifier à son goût de l'absurde, depuis la douceur inflexible des manivelles jusqu'à l'ennui des gardiens de data centers, il propose autant de rêveries tendres et implacables sur les rouages et les algorithmes qui nous gouvernent.
Après la Mélancolie du pot de yaourt (2020), Philippe Garnier raconte la folle intimité qui nous unit aux innombrables machines du quotidien. " Dans les salles des ventes, les habitués du premier rang font monter les enchères par des signaux discrets. Seul le commissaire-priseur repère le léger froncement des sourcils, le clignement des paupières. C'est peut-être ainsi que nous devrons nous adresser aux machines.
Chacun disposera de son langage facial qui servira à la fois d'ordre et de signature. L'un fera démarrer son véhicule par une moue dubitative, l'autre allumera son téléphone par un sourire en coin. Il est en effet souhaitable que nous gardions un léger signal extérieur à produire et que nos pensées ne soient pas intégralementlisibles. " Après Mélancolie du pot de yaourt, Philippe Garnier entreprend d'ausculter ce grand monde des machines qui nous a déjà absorbés.
D'une plume tranchante et sans rien sacrifier à son goût de l'absurde, depuis la douceur inflexible des manivelles jusqu'à l'ennui des gardiens de data centers, il propose autant de rêveries tendres et implacables sur les rouages et les algorithmes qui nous gouvernent.
Chacun disposera de son langage facial qui servira à la fois d'ordre et de signature. L'un fera démarrer son véhicule par une moue dubitative, l'autre allumera son téléphone par un sourire en coin. Il est en effet souhaitable que nous gardions un léger signal extérieur à produire et que nos pensées ne soient pas intégralementlisibles. " Après Mélancolie du pot de yaourt, Philippe Garnier entreprend d'ausculter ce grand monde des machines qui nous a déjà absorbés.
D'une plume tranchante et sans rien sacrifier à son goût de l'absurde, depuis la douceur inflexible des manivelles jusqu'à l'ennui des gardiens de data centers, il propose autant de rêveries tendres et implacables sur les rouages et les algorithmes qui nous gouvernent.