La crise financière et la fin de l'Ancien Régime
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- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- ISBN978-2-7587-0239-9
- EAN9782758702399
- Date de parution01/01/2021
- ÉditeurBernard Giovanangeli Editeur
Résumé
"Point de banqueroute, point d'augmentations d'impôts, point d'emprunts, des économies" , tels étaient les engagements de Turgot, lorsque Louis XVI, qui venait d'accéder au trône, lui confia la responsabilité des finances de la France. Treize ans après, la dette publique avait doublé, son service occupait la moitié des recettes de l'Etat, le déficit du budget avait été multiplié par cinq. Fruit d'une dérive incontrôlé, bien plus que des dépenses occasionnées par la guerre d'Amérique, cette situation aurait pourtant été gérable, si certaines réformes avaient été menées à bien.
Mais la faiblesse du pouvoir incapable de vaincre les crispations sur les privilèges et les avantages acquis, le délitement des esprits et de l'éthique des grands du royaume, marqué par une avidité sans limite, transformèrent une situation certes grave en crise de régime. Dans ce contexte, les états généraux convoqués en 1789 pour des motifs financiers allaient très vite délaisser les questions techniques s'ériger en assemblée politique.
La Révolution était en marche.
Mais la faiblesse du pouvoir incapable de vaincre les crispations sur les privilèges et les avantages acquis, le délitement des esprits et de l'éthique des grands du royaume, marqué par une avidité sans limite, transformèrent une situation certes grave en crise de régime. Dans ce contexte, les états généraux convoqués en 1789 pour des motifs financiers allaient très vite délaisser les questions techniques s'ériger en assemblée politique.
La Révolution était en marche.
"Point de banqueroute, point d'augmentations d'impôts, point d'emprunts, des économies" , tels étaient les engagements de Turgot, lorsque Louis XVI, qui venait d'accéder au trône, lui confia la responsabilité des finances de la France. Treize ans après, la dette publique avait doublé, son service occupait la moitié des recettes de l'Etat, le déficit du budget avait été multiplié par cinq. Fruit d'une dérive incontrôlé, bien plus que des dépenses occasionnées par la guerre d'Amérique, cette situation aurait pourtant été gérable, si certaines réformes avaient été menées à bien.
Mais la faiblesse du pouvoir incapable de vaincre les crispations sur les privilèges et les avantages acquis, le délitement des esprits et de l'éthique des grands du royaume, marqué par une avidité sans limite, transformèrent une situation certes grave en crise de régime. Dans ce contexte, les états généraux convoqués en 1789 pour des motifs financiers allaient très vite délaisser les questions techniques s'ériger en assemblée politique.
La Révolution était en marche.
Mais la faiblesse du pouvoir incapable de vaincre les crispations sur les privilèges et les avantages acquis, le délitement des esprits et de l'éthique des grands du royaume, marqué par une avidité sans limite, transformèrent une situation certes grave en crise de régime. Dans ce contexte, les états généraux convoqués en 1789 pour des motifs financiers allaient très vite délaisser les questions techniques s'ériger en assemblée politique.
La Révolution était en marche.