La Constitution De La Iiie Republique Du Congo-Zaire. Volume 2

Par : Isidore Ndaywel è Nziem

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  • Nombre de pages770
  • PrésentationBroché
  • Poids0.54 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,7 cm
  • ISBN2-7475-2237-7
  • EAN9782747522373
  • Date de parution01/06/2002
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Comment gérer ce vaste espace qu'est l'ancien Congo-Zaïre, actuelle République Démocratique du Congo ? À l'issue de leur longue Conférence Nationale Souveraine (CNS), tenue au seuil des années 1990, les délégués réunis à Kinshasa ont tenté de répondre en adoptant un projet de Constitution pour une nouvelle République Fédérale du Congo. Mais ni le maître d'alors ni son successeur n'en ont pris acte. Une décennie plus tard, ce document historique mérite qu'on s'y arrête. Les termes de cette Constitution - dite " de la IIIe République " - ont été rédigés en français, langue officielle de l'État, et traduits ensuite dans les 4 langues nationales : lingala, kiswahili, ciluba, kikongo (volume 1). Il s'agissait - au moins dans le chef de quelques-uns des conférenciers et des législateurs - de faire circuler ce texte dans tout le pays pour qu'il soit discuté, éventuellement amendé avant son approbation par Référendum. À travers les annexes (volume 2), les étapes d'une histoire constitutionnelle de 30 années au Congo-Zaïre postcolonial sont retracées : la Première Constitution dite " de Luluabourg " en 1964, les suivantes et leurs modifications sous l'ère mobutiste jusqu'à celle issue de la CNS en 1992. Le projet de Constitution fédéraliste et la Charte provinciale qui lui est jointe, ainsi que leurs traductions, étaient jusque-là restés inédits.
Comment gérer ce vaste espace qu'est l'ancien Congo-Zaïre, actuelle République Démocratique du Congo ? À l'issue de leur longue Conférence Nationale Souveraine (CNS), tenue au seuil des années 1990, les délégués réunis à Kinshasa ont tenté de répondre en adoptant un projet de Constitution pour une nouvelle République Fédérale du Congo. Mais ni le maître d'alors ni son successeur n'en ont pris acte. Une décennie plus tard, ce document historique mérite qu'on s'y arrête. Les termes de cette Constitution - dite " de la IIIe République " - ont été rédigés en français, langue officielle de l'État, et traduits ensuite dans les 4 langues nationales : lingala, kiswahili, ciluba, kikongo (volume 1). Il s'agissait - au moins dans le chef de quelques-uns des conférenciers et des législateurs - de faire circuler ce texte dans tout le pays pour qu'il soit discuté, éventuellement amendé avant son approbation par Référendum. À travers les annexes (volume 2), les étapes d'une histoire constitutionnelle de 30 années au Congo-Zaïre postcolonial sont retracées : la Première Constitution dite " de Luluabourg " en 1964, les suivantes et leurs modifications sous l'ère mobutiste jusqu'à celle issue de la CNS en 1992. Le projet de Constitution fédéraliste et la Charte provinciale qui lui est jointe, ainsi que leurs traductions, étaient jusque-là restés inédits.
Isidore Ndaywel è Nziem est historien et linguiste, professeur émérite à l'Université de Kinshasa, Chercheur associé au Centre des Mondes Africains de l'Université Paris I – la Sorbonne. Abraham Constant Ndinga Mbo est historien, professeur titulaire d'histoire et civilisations africaines à l'Université Marien Ngouabi de Brazzaville.
Congo
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