La condamnation

Par : Otohiko Kaga
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  • Nombre de pages382
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.5 kg
  • Dimensions16,4 cm × 24,0 cm × 2,4 cm
  • ISBN978-2-37361-035-2
  • EAN9782373610352
  • Date de parution01/01/2016
  • CollectionVariantes
  • ÉditeurMatériologiques (Editions)
  • TraducteurKaori Kasaï

Résumé

" Etsuko, grâce à toi, ma mort sera resplendissante. Merci, et au revoir. " Tels furent les derniers mots que Takeo, condamné à mort depuis seize ans dans la maison de détention de Tôkyô, adressa à sa jeune correspondante. Comment était-il parvenu à un état d'esprit aussi serein alors qu'il allait être pendu quelques heures plus tard ? Entre les murs des gémissements et des remords, ce meurtrier avait appris peu à peu, pour la première fois de sa vie, à " aimer " quelqu'un, puis à " aimer " la vie, tout simplement.
Sachant que la peine capitale est encore pratiquée à ce jour au Japon, ce roman a suscité une polémique littéraire et sociale importante lors de sa publication en 1979. A ce jour encore, il s'agit de la première et dernière oeuvre littéraire traitant du sujet, consi­déré comme " tabou " au sein de la société japonaise. En faisant revivre de façon très dense, à partir de plusieurs pers­pec­tives, les quatre derniers jours de Takeo, La condamnation – dont c'est la première traduction en français – pose cette question vitale et universelle : " Qu'est-ce, pour l'homme­, que le salut ? " La condamnation a reçu le Grand prix de la littérature japonaise en 1979.
Il a été vendu au Japon à 500 000 exemplaires.
" Etsuko, grâce à toi, ma mort sera resplendissante. Merci, et au revoir. " Tels furent les derniers mots que Takeo, condamné à mort depuis seize ans dans la maison de détention de Tôkyô, adressa à sa jeune correspondante. Comment était-il parvenu à un état d'esprit aussi serein alors qu'il allait être pendu quelques heures plus tard ? Entre les murs des gémissements et des remords, ce meurtrier avait appris peu à peu, pour la première fois de sa vie, à " aimer " quelqu'un, puis à " aimer " la vie, tout simplement.
Sachant que la peine capitale est encore pratiquée à ce jour au Japon, ce roman a suscité une polémique littéraire et sociale importante lors de sa publication en 1979. A ce jour encore, il s'agit de la première et dernière oeuvre littéraire traitant du sujet, consi­déré comme " tabou " au sein de la société japonaise. En faisant revivre de façon très dense, à partir de plusieurs pers­pec­tives, les quatre derniers jours de Takeo, La condamnation – dont c'est la première traduction en français – pose cette question vitale et universelle : " Qu'est-ce, pour l'homme­, que le salut ? " La condamnation a reçu le Grand prix de la littérature japonaise en 1979.
Il a été vendu au Japon à 500 000 exemplaires.