La cochenille, de la teinture à la peinture. Une histoire matérielle de la couleur
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- Nombre de pages325
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.62 kg
- Dimensions16,2 cm × 22,1 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-07-285231-2
- EAN9782072852312
- Date de parution29/04/2021
- CollectionArt et artistes
- ÉditeurGallimard
Résumé
L'ouvrage de Georges Roque, l'un des plus grands spécialistes mondiaux de la couleur en art, est consacré au pigment rouge tiré de la cochenille, insecte hémiptère que les peintres ont utilisé à partir de la seconde moitié du XVIe siècle. Il entreprend de remonter à la création de cette couleur qui, comme d'autres dès le Moyen Age, était obtenue par la préparation, le broyage d'insectes, de plantes, de minéraux ou de mollusques.
La méthode proposée rompt avec la façon commune d'approcher les couleurs, généralement analysées avant tout sous l'angle esthétique. Il s'agit, à partir du cas particulier de la cochenille, d'aborder la couleur comme la partie d'un tout complexe dans lequel la valeur esthétique est certes présente, mais corrélée à la valeur économique et à la valeur socio-politique. Originale et plurielle, la démarche de Georges Roque convoque aussi bien l'histoire économique et l'industrie textile que les disciplines scientifiques de pointe.
De Séville à Venise et à Amsterdam, il invite ainsi à porter un regard neuf sur les chefs-d'oeuvre de Velàzquez, Titien, Véronèse, Rembrandt, Renoir ou Van Gogh.
La méthode proposée rompt avec la façon commune d'approcher les couleurs, généralement analysées avant tout sous l'angle esthétique. Il s'agit, à partir du cas particulier de la cochenille, d'aborder la couleur comme la partie d'un tout complexe dans lequel la valeur esthétique est certes présente, mais corrélée à la valeur économique et à la valeur socio-politique. Originale et plurielle, la démarche de Georges Roque convoque aussi bien l'histoire économique et l'industrie textile que les disciplines scientifiques de pointe.
De Séville à Venise et à Amsterdam, il invite ainsi à porter un regard neuf sur les chefs-d'oeuvre de Velàzquez, Titien, Véronèse, Rembrandt, Renoir ou Van Gogh.
L'ouvrage de Georges Roque, l'un des plus grands spécialistes mondiaux de la couleur en art, est consacré au pigment rouge tiré de la cochenille, insecte hémiptère que les peintres ont utilisé à partir de la seconde moitié du XVIe siècle. Il entreprend de remonter à la création de cette couleur qui, comme d'autres dès le Moyen Age, était obtenue par la préparation, le broyage d'insectes, de plantes, de minéraux ou de mollusques.
La méthode proposée rompt avec la façon commune d'approcher les couleurs, généralement analysées avant tout sous l'angle esthétique. Il s'agit, à partir du cas particulier de la cochenille, d'aborder la couleur comme la partie d'un tout complexe dans lequel la valeur esthétique est certes présente, mais corrélée à la valeur économique et à la valeur socio-politique. Originale et plurielle, la démarche de Georges Roque convoque aussi bien l'histoire économique et l'industrie textile que les disciplines scientifiques de pointe.
De Séville à Venise et à Amsterdam, il invite ainsi à porter un regard neuf sur les chefs-d'oeuvre de Velàzquez, Titien, Véronèse, Rembrandt, Renoir ou Van Gogh.
La méthode proposée rompt avec la façon commune d'approcher les couleurs, généralement analysées avant tout sous l'angle esthétique. Il s'agit, à partir du cas particulier de la cochenille, d'aborder la couleur comme la partie d'un tout complexe dans lequel la valeur esthétique est certes présente, mais corrélée à la valeur économique et à la valeur socio-politique. Originale et plurielle, la démarche de Georges Roque convoque aussi bien l'histoire économique et l'industrie textile que les disciplines scientifiques de pointe.
De Séville à Venise et à Amsterdam, il invite ainsi à porter un regard neuf sur les chefs-d'oeuvre de Velàzquez, Titien, Véronèse, Rembrandt, Renoir ou Van Gogh.