La civilisation contre la culture
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- Nombre de pages716
- PrésentationBroché
- Poids1.055 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 4,0 cm
- ISBN978-2-906419-29-2
- EAN9782906419292
- Date de parution01/07/2019
- CollectionOrganon de la psychanalyse
- ÉditeurLysimaque
- ContributeurJacques Laberge
- ContributeurAnabel Salafia
- ContributeurIsidoro Vegh
Résumé
On pâtit de la confusion entre civilisation et culture — traductions françaises de Freud à l'appui. La civilisation qu'on connaît s'est étendue à l'ensemble du monde, y compris de manière factice (en laissant en plan l'intension de la fonction qui y fait appel) : elle est généraliste, sinon universelle, fondée de l'expansion du recours à la plus-value, elle-même fondée sur l'exploitation actuellement néolibérale de la force de travail.
La culture par contre est particulière, tant liée à l'individualité qu'à la géographie ou l'ethnique, sinon le communautaire. La première globalise les masses, la seconde insère tout un chacun dans un collectif. C'est d'une autre logique qu'il s'agit. Aussi Freud en vient-il, pour en spécifier le malaise, à distinguer le tout et l'un. C'est cette topologie qu'on peut lire dans le livre qu'il consacre à cette question.
Cela s'entend particulièrement si l'on prend le malaise pour l'impact de la civilisation sur la culture. C'est ce que cet ouvrage vise à mettre en évidence.
La culture par contre est particulière, tant liée à l'individualité qu'à la géographie ou l'ethnique, sinon le communautaire. La première globalise les masses, la seconde insère tout un chacun dans un collectif. C'est d'une autre logique qu'il s'agit. Aussi Freud en vient-il, pour en spécifier le malaise, à distinguer le tout et l'un. C'est cette topologie qu'on peut lire dans le livre qu'il consacre à cette question.
Cela s'entend particulièrement si l'on prend le malaise pour l'impact de la civilisation sur la culture. C'est ce que cet ouvrage vise à mettre en évidence.
On pâtit de la confusion entre civilisation et culture — traductions françaises de Freud à l'appui. La civilisation qu'on connaît s'est étendue à l'ensemble du monde, y compris de manière factice (en laissant en plan l'intension de la fonction qui y fait appel) : elle est généraliste, sinon universelle, fondée de l'expansion du recours à la plus-value, elle-même fondée sur l'exploitation actuellement néolibérale de la force de travail.
La culture par contre est particulière, tant liée à l'individualité qu'à la géographie ou l'ethnique, sinon le communautaire. La première globalise les masses, la seconde insère tout un chacun dans un collectif. C'est d'une autre logique qu'il s'agit. Aussi Freud en vient-il, pour en spécifier le malaise, à distinguer le tout et l'un. C'est cette topologie qu'on peut lire dans le livre qu'il consacre à cette question.
Cela s'entend particulièrement si l'on prend le malaise pour l'impact de la civilisation sur la culture. C'est ce que cet ouvrage vise à mettre en évidence.
La culture par contre est particulière, tant liée à l'individualité qu'à la géographie ou l'ethnique, sinon le communautaire. La première globalise les masses, la seconde insère tout un chacun dans un collectif. C'est d'une autre logique qu'il s'agit. Aussi Freud en vient-il, pour en spécifier le malaise, à distinguer le tout et l'un. C'est cette topologie qu'on peut lire dans le livre qu'il consacre à cette question.
Cela s'entend particulièrement si l'on prend le malaise pour l'impact de la civilisation sur la culture. C'est ce que cet ouvrage vise à mettre en évidence.