La Cite De Dieu

Par : Paulo Lins

Formats :

Disponible d'occasion :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 9 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages413
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.455 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,5 cm × 2,7 cm
  • ISBN2-07-075306-9
  • EAN9782070753062
  • Date de parution18/02/2003
  • CollectionDu monde entier
  • ÉditeurGallimard

Résumé

«Les nouveaux occupants apportèrent les ordures, les boîtes de conserve, les chiens bâtards, les Echous et les Pombagiras sur des colliers sacrés, les jours de rixes, les vieux comptes à régler, les lambeaux de rage de coups de feu, les nuits pour veiller les cadavres, les marques des crues, les troquets, les marchés du jeudi et du dimanche, les vers rouges dans le ventre des enfants, les revolvers, les représentations d'Orichas entortillées autour du cou, les poulets pour les offrandes, les sambas chantées et syncopées, les jeux clandestins, la faim, la trahison, les morts, les christs sur des chaînettes fatiguées, les forrós chauds pour danser, les lampes à huile pour éclairer le saint, les petits fourneaux à charbon, la pauvreté pour vouloir s'enrichir, les yeux pour ne jamais voir, ne jamais dire, jamais, les yeux et le cran pour faire face à la vie, déjouer la mort, rafraîchir la rage, ensanglanter des destins, faire la guerre et être tatoué.»
«Les nouveaux occupants apportèrent les ordures, les boîtes de conserve, les chiens bâtards, les Echous et les Pombagiras sur des colliers sacrés, les jours de rixes, les vieux comptes à régler, les lambeaux de rage de coups de feu, les nuits pour veiller les cadavres, les marques des crues, les troquets, les marchés du jeudi et du dimanche, les vers rouges dans le ventre des enfants, les revolvers, les représentations d'Orichas entortillées autour du cou, les poulets pour les offrandes, les sambas chantées et syncopées, les jeux clandestins, la faim, la trahison, les morts, les christs sur des chaînettes fatiguées, les forrós chauds pour danser, les lampes à huile pour éclairer le saint, les petits fourneaux à charbon, la pauvreté pour vouloir s'enrichir, les yeux pour ne jamais voir, ne jamais dire, jamais, les yeux et le cran pour faire face à la vie, déjouer la mort, rafraîchir la rage, ensanglanter des destins, faire la guerre et être tatoué.»