Prix Nobel de Littérature (1988).
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- Nombre de pages544
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.267 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,9 cm × 2,4 cm
- ISBN2-07-038538-8
- EAN9782070385386
- Date de parution01/12/1994
- CollectionFolio
- ÉditeurGallimard
Résumé
Cent ans de la vie d'un quartier : de l'obscure naissance d'Ashur an-Nagi, Naguib Mahfouz fait le point de départ de cette fresque d'une société repliée sur elle-même, régie par des lois et des principes immuables. Les crève-la-faim, ceux qui dans la société égyptienne restent parmi les plus démunis, sans travail, sans toit, et qui vivent sous la bienveillante protection des chefs de clan, sont soumis à l'autorité de divers personnages.
Ashur an-Nagi éclaboussera de sa gloire une multitude de descendants qui se passeront le flambeau en sombrant peu à peu dans la déchéance, jusqu'à l'avènement du dernier des Ashur, homme probe faisant renaître de ses cendres le prestige de son aïeul... Entre mosquée et café, fumerie d'opium et antre des matrones, se tisse la toile d'une société fermée, où la femme est tout autant instrument de procréation que maîtresse des événements, lorsque ses atouts quasi diaboliques lui permettent de s'immiscer de manière insidieuse dans la "politique" du quartier.
Gare alors au mari trompé, à l'amant délaissé, au fils bâtard désavoué ! Le sang de la haine, les crimes crapuleux sauront ébranler à jamais le pouvoir vacillant du chef de clan non aguerri, et ouvrir la porte de la succession.
Ashur an-Nagi éclaboussera de sa gloire une multitude de descendants qui se passeront le flambeau en sombrant peu à peu dans la déchéance, jusqu'à l'avènement du dernier des Ashur, homme probe faisant renaître de ses cendres le prestige de son aïeul... Entre mosquée et café, fumerie d'opium et antre des matrones, se tisse la toile d'une société fermée, où la femme est tout autant instrument de procréation que maîtresse des événements, lorsque ses atouts quasi diaboliques lui permettent de s'immiscer de manière insidieuse dans la "politique" du quartier.
Gare alors au mari trompé, à l'amant délaissé, au fils bâtard désavoué ! Le sang de la haine, les crimes crapuleux sauront ébranler à jamais le pouvoir vacillant du chef de clan non aguerri, et ouvrir la porte de la succession.
Cent ans de la vie d'un quartier : de l'obscure naissance d'Ashur an-Nagi, Naguib Mahfouz fait le point de départ de cette fresque d'une société repliée sur elle-même, régie par des lois et des principes immuables. Les crève-la-faim, ceux qui dans la société égyptienne restent parmi les plus démunis, sans travail, sans toit, et qui vivent sous la bienveillante protection des chefs de clan, sont soumis à l'autorité de divers personnages.
Ashur an-Nagi éclaboussera de sa gloire une multitude de descendants qui se passeront le flambeau en sombrant peu à peu dans la déchéance, jusqu'à l'avènement du dernier des Ashur, homme probe faisant renaître de ses cendres le prestige de son aïeul... Entre mosquée et café, fumerie d'opium et antre des matrones, se tisse la toile d'une société fermée, où la femme est tout autant instrument de procréation que maîtresse des événements, lorsque ses atouts quasi diaboliques lui permettent de s'immiscer de manière insidieuse dans la "politique" du quartier.
Gare alors au mari trompé, à l'amant délaissé, au fils bâtard désavoué ! Le sang de la haine, les crimes crapuleux sauront ébranler à jamais le pouvoir vacillant du chef de clan non aguerri, et ouvrir la porte de la succession.
Ashur an-Nagi éclaboussera de sa gloire une multitude de descendants qui se passeront le flambeau en sombrant peu à peu dans la déchéance, jusqu'à l'avènement du dernier des Ashur, homme probe faisant renaître de ses cendres le prestige de son aïeul... Entre mosquée et café, fumerie d'opium et antre des matrones, se tisse la toile d'une société fermée, où la femme est tout autant instrument de procréation que maîtresse des événements, lorsque ses atouts quasi diaboliques lui permettent de s'immiscer de manière insidieuse dans la "politique" du quartier.
Gare alors au mari trompé, à l'amant délaissé, au fils bâtard désavoué ! Le sang de la haine, les crimes crapuleux sauront ébranler à jamais le pouvoir vacillant du chef de clan non aguerri, et ouvrir la porte de la succession.