La chanson des gueux

Par : Naguib Mahfouz
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  • Nombre de pages479
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.49 kg
  • Dimensions14,5 cm × 20,5 cm × 3,2 cm
  • ISBN2-207-23619-6
  • EAN9782207236192
  • Date de parution19/09/1989
  • ÉditeurDenoël
  • TraducteurFrance Douvier Meyer

Résumé

Cent ans de la vie d'un quartier : de l'obscure naissance d'Ashur an-Nagi, Naguib Mahfouz fait le point de départ de cette fresque d'une société repliée sur elle-même, régie par des lois et des principes immuables. Le quartier, fief des harafish - les petits métiers, les crève-la-faim, ceux qui dans la société égyptienne restent parmi les plus démunis, sans travail, sans toit, et qui vivent sous la bienveillante protection des Foutouwat, les chefs de clan -, est soumis à l'autorité de divers personnages, dont celle des chefs de clan. Ces derniers règnent sur les choses et les gens avec plus ou moins de bonheur, et se succèdent au fil du récit en assurant sa continuité. Ashur an-Nagi, le premier de la lignée, éclaboussera de sa gloire une multitude de descendants qui se passeront le flambeau en sombrant peu à peu dans la déchéance, jusqu'à l'avènement du dernier des Ashur, homme probe faisant renaître de ses cendres le prestige de son aïeul... Entre mosquée et café, fumerie d'opium et antre des matrones, se tisse la toile d'une société fermée, où la femme est tout autant instrument de procréation que maîtresse des événements, lorsque ses atouts quasi diaboliques lui permettent de s'immiscer de manière insidieuse dans la " politique " du quartier. Gare alors au bâtard désavoué ! Le sang de la haine, les crimes crapuleux sauront ébranler à jamais le pouvoir vacillant du chef de clan non aguerri, et ouvrir ainsi la porte de la succession. Traduction de l'arabe par France Douvier Meyer
Cent ans de la vie d'un quartier : de l'obscure naissance d'Ashur an-Nagi, Naguib Mahfouz fait le point de départ de cette fresque d'une société repliée sur elle-même, régie par des lois et des principes immuables. Le quartier, fief des harafish - les petits métiers, les crève-la-faim, ceux qui dans la société égyptienne restent parmi les plus démunis, sans travail, sans toit, et qui vivent sous la bienveillante protection des Foutouwat, les chefs de clan -, est soumis à l'autorité de divers personnages, dont celle des chefs de clan. Ces derniers règnent sur les choses et les gens avec plus ou moins de bonheur, et se succèdent au fil du récit en assurant sa continuité. Ashur an-Nagi, le premier de la lignée, éclaboussera de sa gloire une multitude de descendants qui se passeront le flambeau en sombrant peu à peu dans la déchéance, jusqu'à l'avènement du dernier des Ashur, homme probe faisant renaître de ses cendres le prestige de son aïeul... Entre mosquée et café, fumerie d'opium et antre des matrones, se tisse la toile d'une société fermée, où la femme est tout autant instrument de procréation que maîtresse des événements, lorsque ses atouts quasi diaboliques lui permettent de s'immiscer de manière insidieuse dans la " politique " du quartier. Gare alors au bâtard désavoué ! Le sang de la haine, les crimes crapuleux sauront ébranler à jamais le pouvoir vacillant du chef de clan non aguerri, et ouvrir ainsi la porte de la succession. Traduction de l'arabe par France Douvier Meyer
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