La Cave aux poupées

Par : Magali Collet
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  • Nombre de pages211
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.146 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-37258-066-3
  • EAN9782372580663
  • Date de parution19/03/2020
  • CollectionLe tourbillon des mots
  • ÉditeurTaurnada Editions

Résumé

Manon n'est pas une fille comme les autres, ça, elle le sait depuis son plus jeune âge. En effet, une fille normale ne passe pas ses journées à regarder la vraie vie à la télé. Une fille normale ne compte pas les jours qui la séparent de la prochaine raclée monumentale... Mais, par-dessus tout, une fille normale n'aide pas son père à garder une adolescente prisonnière dans la cave de la maison.
Manon n'est pas une fille comme les autres, ça, elle le sait depuis son plus jeune âge. En effet, une fille normale ne passe pas ses journées à regarder la vraie vie à la télé. Une fille normale ne compte pas les jours qui la séparent de la prochaine raclée monumentale... Mais, par-dessus tout, une fille normale n'aide pas son père à garder une adolescente prisonnière dans la cave de la maison.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.3/5
sur 3 notes dont 3 avis lecteurs
La cave aux poupées
Magali Collet... La cave aux poupées... Je ne sais pas combien de temps j'ai passé en compagnie de Manon et Camille dans cette cave...mais malgré toutes les horreurs subies je n'ai pas trouvé le temps trop long....Manon tour à tour tortionnaire et bienveillante,terrifiante par ces propos d'une grande froideur mais si lucide...sa vie rêvée...m'a touchée...un premier roman et à mon humble avis une réussite.... J'ai raison de faire confiance aux éditions Taurnada et à Joël Maissa et Partricia dans leur choix...une nouvelle plume à suivre
Magali Collet... La cave aux poupées... Je ne sais pas combien de temps j'ai passé en compagnie de Manon et Camille dans cette cave...mais malgré toutes les horreurs subies je n'ai pas trouvé le temps trop long....Manon tour à tour tortionnaire et bienveillante,terrifiante par ces propos d'une grande froideur mais si lucide...sa vie rêvée...m'a touchée...un premier roman et à mon humble avis une réussite.... J'ai raison de faire confiance aux éditions Taurnada et à Joël Maissa et Partricia dans leur choix...une nouvelle plume à suivre
Un très bon roman noir.
Taurnada propose des lectures différentes et de qualité. Et La Cave Aux Poupées en est un excellent exemple. Thriller et roman noir, c’est certain, mais au delà de ces étiquettes, l’auteure, Magali Collet, va beaucoup plus loin que beaucoup d’autres romans dans son intrigue. Manon habite avec son père. Le Père, comme elle l’appelle. Elle vit à travers les téléfilms qu’elle voit passer à la télé, s’imaginant que la vraie vie est celle qu’elle aperçoit à travers cette petite lucarne. Et c’est bien normal, car comment la vraie vie pourrait-elle être celle qu’elle subit depuis sa naissance ? À supporter les horreurs du Père ? À passer ses journées à nettoyer, faire à manger, panser ses plaies ? Nourrir et laver les autres jeunes femmes enfermées dans la cave ? Et pourtant, c’est bel et bien sa vie. Et les règles en sont simples : elle n’est rien, et les autres filles sont encore moins qu’elle-même. Jusqu’au jour où... Cette histoire est-elle difficile à lire ? Oui, clairement elle l’est. Non pas sur la forme (qui est très bonne), mais sur le fond. Parce que, nous le savons tous, ces monstres existent réellement dans la vraie vie. Toutefois, il n’est nullement question ici de voyeurisme. Bien sûr, cette vie est un enfer, mais à aucun moment l’auteure ne se complaît dans des descriptions malsaines. Les choses sont dites sans ambiguïté, mais sans détails inutiles. Les sentiments du lecteur sont mis à rudes épreuves, non pas à cause des mots utilisés mais à cause de ses propres sentiments envers les protagonistes. Le Père est le bourreau. Camille, la victime. Mais Manon ? À la fois victime et bourreau, je suis passée par beaucoup de sentiments contradictoires pour elle. Le chagrin et la colère étant ceux qui revenaient le plus souvent. Je me suis régulièrement demandé comment elle pouvait « aider » Le Père avec les prisonnières, alors qu’elle était là mieux placée pour connaître leurs souffrances. Par habitude ? Par peur ? Obéissance aveugle ? Instinct de survie ? Sûrement un peu de tout ça. Mais il y a plus, tellement plus, à découvrir sur elle. C’est une lecture que je recommande sans hésiter. Et une auteure que je vais suivre de près !
Taurnada propose des lectures différentes et de qualité. Et La Cave Aux Poupées en est un excellent exemple. Thriller et roman noir, c’est certain, mais au delà de ces étiquettes, l’auteure, Magali Collet, va beaucoup plus loin que beaucoup d’autres romans dans son intrigue. Manon habite avec son père. Le Père, comme elle l’appelle. Elle vit à travers les téléfilms qu’elle voit passer à la télé, s’imaginant que la vraie vie est celle qu’elle aperçoit à travers cette petite lucarne. Et c’est bien normal, car comment la vraie vie pourrait-elle être celle qu’elle subit depuis sa naissance ? À supporter les horreurs du Père ? À passer ses journées à nettoyer, faire à manger, panser ses plaies ? Nourrir et laver les autres jeunes femmes enfermées dans la cave ? Et pourtant, c’est bel et bien sa vie. Et les règles en sont simples : elle n’est rien, et les autres filles sont encore moins qu’elle-même. Jusqu’au jour où... Cette histoire est-elle difficile à lire ? Oui, clairement elle l’est. Non pas sur la forme (qui est très bonne), mais sur le fond. Parce que, nous le savons tous, ces monstres existent réellement dans la vraie vie. Toutefois, il n’est nullement question ici de voyeurisme. Bien sûr, cette vie est un enfer, mais à aucun moment l’auteure ne se complaît dans des descriptions malsaines. Les choses sont dites sans ambiguïté, mais sans détails inutiles. Les sentiments du lecteur sont mis à rudes épreuves, non pas à cause des mots utilisés mais à cause de ses propres sentiments envers les protagonistes. Le Père est le bourreau. Camille, la victime. Mais Manon ? À la fois victime et bourreau, je suis passée par beaucoup de sentiments contradictoires pour elle. Le chagrin et la colère étant ceux qui revenaient le plus souvent. Je me suis régulièrement demandé comment elle pouvait « aider » Le Père avec les prisonnières, alors qu’elle était là mieux placée pour connaître leurs souffrances. Par habitude ? Par peur ? Obéissance aveugle ? Instinct de survie ? Sûrement un peu de tout ça. Mais il y a plus, tellement plus, à découvrir sur elle. C’est une lecture que je recommande sans hésiter. Et une auteure que je vais suivre de près !
Un très bon roman noir.
Taurnada propose des lectures différentes et de qualité. Et La Cave Aux Poupées en est un excellent exemple. Thriller et roman noir, c’est certain, mais au delà de ces étiquettes, l’auteure, Magali Collet, va beaucoup plus loin que beaucoup d’autres romans dans son intrigue. Manon habite avec son père. Le Père, comme elle l’appelle. Elle vit à travers les téléfilms qu’elle voit passer à la télé, s’imaginant que la vraie vie est celle qu’elle aperçoit à travers cette petite lucarne. Et c’est bien normal, car comment la vraie vie pourrait-elle être celle qu’elle subit depuis sa naissance ? À supporter les horreurs du Père ? À passer ses journées à nettoyer, faire à manger, panser ses plaies ? Nourrir et laver les autres jeunes femmes enfermées dans la cave ? Et pourtant, c’est bel et bien sa vie. Et les règles en sont simples : elle n’est rien, et les autres filles sont encore moins qu’elle-même. Jusqu’au jour où... Cette histoire est-elle difficile à lire ? Oui, clairement elle l’est. Non pas sur la forme (qui est très bonne), mais sur le fond. Parce que, nous le savons tous, ces monstres existent réellement dans la vraie vie. Toutefois, il n’est nullement question ici de voyeurisme. Bien sûr, cette vie est un enfer, mais à aucun moment l’auteure ne se complaît dans des descriptions malsaines. Les choses sont dites sans ambiguïté, mais sans détails inutiles. Les sentiments du lecteur sont mis à rudes épreuves, non pas à cause des mots utilisés mais à cause de ses propres sentiments envers les protagonistes. Le Père est le bourreau. Camille, la victime. Mais Manon ? À la fois victime et bourreau, je suis passée par beaucoup de sentiments contradictoires pour elle. Le chagrin et la colère étant ceux qui revenaient le plus souvent. Je me suis régulièrement demandé comment elle pouvait « aider » Le Père avec les prisonnières, alors qu’elle était là mieux placée pour connaître leurs souffrances. Par habitude ? Par peur ? Obéissance aveugle ? Instinct de survie ? Sûrement un peu de tout ça. Mais il y a plus, tellement plus, à découvrir sur elle. C’est une lecture que je recommande sans hésiter. Et une auteure que je vais suivre de près !
Taurnada propose des lectures différentes et de qualité. Et La Cave Aux Poupées en est un excellent exemple. Thriller et roman noir, c’est certain, mais au delà de ces étiquettes, l’auteure, Magali Collet, va beaucoup plus loin que beaucoup d’autres romans dans son intrigue. Manon habite avec son père. Le Père, comme elle l’appelle. Elle vit à travers les téléfilms qu’elle voit passer à la télé, s’imaginant que la vraie vie est celle qu’elle aperçoit à travers cette petite lucarne. Et c’est bien normal, car comment la vraie vie pourrait-elle être celle qu’elle subit depuis sa naissance ? À supporter les horreurs du Père ? À passer ses journées à nettoyer, faire à manger, panser ses plaies ? Nourrir et laver les autres jeunes femmes enfermées dans la cave ? Et pourtant, c’est bel et bien sa vie. Et les règles en sont simples : elle n’est rien, et les autres filles sont encore moins qu’elle-même. Jusqu’au jour où... Cette histoire est-elle difficile à lire ? Oui, clairement elle l’est. Non pas sur la forme (qui est très bonne), mais sur le fond. Parce que, nous le savons tous, ces monstres existent réellement dans la vraie vie. Toutefois, il n’est nullement question ici de voyeurisme. Bien sûr, cette vie est un enfer, mais à aucun moment l’auteure ne se complaît dans des descriptions malsaines. Les choses sont dites sans ambiguïté, mais sans détails inutiles. Les sentiments du lecteur sont mis à rudes épreuves, non pas à cause des mots utilisés mais à cause de ses propres sentiments envers les protagonistes. Le Père est le bourreau. Camille, la victime. Mais Manon ? À la fois victime et bourreau, je suis passée par beaucoup de sentiments contradictoires pour elle. Le chagrin et la colère étant ceux qui revenaient le plus souvent. Je me suis régulièrement demandé comment elle pouvait « aider » Le Père avec les prisonnières, alors qu’elle était là mieux placée pour connaître leurs souffrances. Par habitude ? Par peur ? Obéissance aveugle ? Instinct de survie ? Sûrement un peu de tout ça. Mais il y a plus, tellement plus, à découvrir sur elle. C’est une lecture que je recommande sans hésiter. Et une auteure que je vais suivre de près !
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