Prix du Guesclin

La belle histoire des Tuileries

Par : Juliette Glikman

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  • Nombre de pages346
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.74 kg
  • Dimensions16,4 cm × 21,0 cm × 2,8 cm
  • ISBN978-2-08-133129-7
  • EAN9782081331297
  • Date de parution28/09/2016
  • CollectionAu fil de l'histoire
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

Havre de paix dédié aux muses, les Tuileries furent cet écrin où se jouèrent les grandes heures de l'histoire de France. Une destinée à la fois sublime et tragique pour ce palais, fondé en 1564 par Catherine de Médicis et achevé par Louis XIV à l'aube de son règne. Frappée à l'effigie du Roi-Soleil, la demeure captive les regards éblouis des visiteurs. Comment s'en étonner ? Les Tuileries sont une cité des arts, le haut lieu de la vie culturelle française.
Mais c'est aussi une réserve de verdure en plein coeur de Paris, un don gracieux du monarque qui dispense à ses sujets bon air et douce lumière. Dans les jardins dus au génie de Le Nôtre, Précieuses et petits marquis s'y prélassent dans des tenues ébouriffantes devant un peuple bouche bée. Vient la Révolution qui sonne le glas des frivolités. Louis XVI et Marie-Antoinette subissent, sous les lambris dorés, les outrages des révolutionnaires.
"Triste comme la grandeur", murmure Napoléon, en parcourant les salles glaciales du palais. Peut-être… Et pourtant il demeure le symbole de la puissance souveraine, réaménagé au fil des régimes qui se succèdent tout au long du XIXe siècle. Avant de sombrer tristement dans l'incendie allumé par les communards, en 1871. "Le palais des rois brûle. L'oiseau ne reviendra plus au nid", chantonnèrent les incendiaires, en soupant à la lueur des flammes.
Havre de paix dédié aux muses, les Tuileries furent cet écrin où se jouèrent les grandes heures de l'histoire de France. Une destinée à la fois sublime et tragique pour ce palais, fondé en 1564 par Catherine de Médicis et achevé par Louis XIV à l'aube de son règne. Frappée à l'effigie du Roi-Soleil, la demeure captive les regards éblouis des visiteurs. Comment s'en étonner ? Les Tuileries sont une cité des arts, le haut lieu de la vie culturelle française.
Mais c'est aussi une réserve de verdure en plein coeur de Paris, un don gracieux du monarque qui dispense à ses sujets bon air et douce lumière. Dans les jardins dus au génie de Le Nôtre, Précieuses et petits marquis s'y prélassent dans des tenues ébouriffantes devant un peuple bouche bée. Vient la Révolution qui sonne le glas des frivolités. Louis XVI et Marie-Antoinette subissent, sous les lambris dorés, les outrages des révolutionnaires.
"Triste comme la grandeur", murmure Napoléon, en parcourant les salles glaciales du palais. Peut-être… Et pourtant il demeure le symbole de la puissance souveraine, réaménagé au fil des régimes qui se succèdent tout au long du XIXe siècle. Avant de sombrer tristement dans l'incendie allumé par les communards, en 1871. "Le palais des rois brûle. L'oiseau ne reviendra plus au nid", chantonnèrent les incendiaires, en soupant à la lueur des flammes.