L'unité de commandement dans les organisations civiles et militaires au Congo-Brazzaville

Par : Michel Innocent Peya

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 1 juillet et le 3 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages230
  • PrésentationBroché
  • Poids0.288 kg
  • Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-343-02867-5
  • EAN9782343028675
  • Date de parution15/03/2015
  • CollectionGouvernance et société
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierEmmanuel Okamba

Résumé

Ce livre étudie l'unité de commandement, principe de direction des organisations d'origine militaire introduit dans les organisations civiles par Henri Fayol au début du XXe siècle. L'auteur s'appuie sur le cas des organisations civiles du Congo-Brazzaville pour montrer l'universalité de ce principe qui réactualise le commandement dans les armées. L'unité de commandement doit son efficacité aux piliers que sont le degré d'engagement, l'obéissance et l'éthique qui poussent le subordonné à obéir aux ordres de son supérieur hiérarchique.
A l'ère de la société de l'information et de la communication, son efficacité est de plus en plus incertaine, face à l'agent intelligent. L'apprentissage organisationnel qui favorise l'autonomie, l'innovation et la responsabilité de cet agent, au-delà de l'engagement, favorise l'acceptation du commandement dans les organisations. Il rend possible le partage de l'information entre le supérieur hiérarchique et son collaborateur, et tend à améliorer l'efficacité de l'unité de commandement autour du principe de l'unité de sens.
Ce livre étudie l'unité de commandement, principe de direction des organisations d'origine militaire introduit dans les organisations civiles par Henri Fayol au début du XXe siècle. L'auteur s'appuie sur le cas des organisations civiles du Congo-Brazzaville pour montrer l'universalité de ce principe qui réactualise le commandement dans les armées. L'unité de commandement doit son efficacité aux piliers que sont le degré d'engagement, l'obéissance et l'éthique qui poussent le subordonné à obéir aux ordres de son supérieur hiérarchique.
A l'ère de la société de l'information et de la communication, son efficacité est de plus en plus incertaine, face à l'agent intelligent. L'apprentissage organisationnel qui favorise l'autonomie, l'innovation et la responsabilité de cet agent, au-delà de l'engagement, favorise l'acceptation du commandement dans les organisations. Il rend possible le partage de l'information entre le supérieur hiérarchique et son collaborateur, et tend à améliorer l'efficacité de l'unité de commandement autour du principe de l'unité de sens.