L'invention du jugement synthétique a priori chez Kant
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 10 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 10 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages224
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.014 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-14-032386-7
- EAN9782140323867
- Date de parution13/03/2023
- CollectionPour Comprendre
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Si tout le propos de Kant, dans la Critique de la raison pure, est de légitimer les conditions de possibilité des jugements synthétiques a priori, il ne va pas s'agir pour nous, à travers la présente étude, de prendre pour objet de recherche les conditions de possibilité des jugements synthétiques a priori, mais de nous attarder sur l'idée même de synthèse a priori et d'ouvrir une discussion critique autour du problème du jugement qui lui est directement rattaché.
L'idée même de synthèse a priori inaugure chez Kant une nouvelle forme de connaissance ; or toute forme de connaissance semble toujours consubstantiellement liée à une forme de jugement, car émettre un jugement revient à participer d'un acte de connaissance au travers duquel on détermine un rapport entre concepts. Tenter ainsi de montrer comment l'idée kantienne de jugement synthétique a priori, nouvelle manière de comprendre les relations entre concepts déterminés et de concevoir un jugement, fait problème en elle-même constituera également notre objet de recherche.
L'idée même de synthèse a priori inaugure chez Kant une nouvelle forme de connaissance ; or toute forme de connaissance semble toujours consubstantiellement liée à une forme de jugement, car émettre un jugement revient à participer d'un acte de connaissance au travers duquel on détermine un rapport entre concepts. Tenter ainsi de montrer comment l'idée kantienne de jugement synthétique a priori, nouvelle manière de comprendre les relations entre concepts déterminés et de concevoir un jugement, fait problème en elle-même constituera également notre objet de recherche.
Si tout le propos de Kant, dans la Critique de la raison pure, est de légitimer les conditions de possibilité des jugements synthétiques a priori, il ne va pas s'agir pour nous, à travers la présente étude, de prendre pour objet de recherche les conditions de possibilité des jugements synthétiques a priori, mais de nous attarder sur l'idée même de synthèse a priori et d'ouvrir une discussion critique autour du problème du jugement qui lui est directement rattaché.
L'idée même de synthèse a priori inaugure chez Kant une nouvelle forme de connaissance ; or toute forme de connaissance semble toujours consubstantiellement liée à une forme de jugement, car émettre un jugement revient à participer d'un acte de connaissance au travers duquel on détermine un rapport entre concepts. Tenter ainsi de montrer comment l'idée kantienne de jugement synthétique a priori, nouvelle manière de comprendre les relations entre concepts déterminés et de concevoir un jugement, fait problème en elle-même constituera également notre objet de recherche.
L'idée même de synthèse a priori inaugure chez Kant une nouvelle forme de connaissance ; or toute forme de connaissance semble toujours consubstantiellement liée à une forme de jugement, car émettre un jugement revient à participer d'un acte de connaissance au travers duquel on détermine un rapport entre concepts. Tenter ainsi de montrer comment l'idée kantienne de jugement synthétique a priori, nouvelle manière de comprendre les relations entre concepts déterminés et de concevoir un jugement, fait problème en elle-même constituera également notre objet de recherche.