L'individu : raison d'être de l'humanité. Pour un anarchisme humaniste
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- Nombre de pages332
- PrésentationBroché
- Poids0.515 kg
- Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-343-06324-9
- EAN9782343063249
- Date de parution01/05/2015
- CollectionQuestions contemporaines
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierJean-Pierre Sironneau
Résumé
Chaque individu est unique, et différent de tout autre ; ...mais c'est le terme générique d'Homme qui est utilisé pour définir les droits et les valeurs qui le concernent. La notion d'individu est la référence symbolique qui a présidé à tous les systèmes de vérité : philosophies, dogmes, mythes ou sciences de l'homme ; ... mais c'est l'organisation collective : la société, qui impose ses règles de vie, communes et anonymes.
Nous sommes donc pris dans un paradoxe permanent, entre notre légitime désir de vivre pour nous-mêmes et l'assignation à des institutions qui semblent fonctionner pour elles-mêmes. L'individu n'est-il qu'une particule fonctionnelle de systèmes qui ne reconnaissent pas son existence ; n'est-il que ce monstre d'égoïsme indifférent à ses alter ego et dangereux pour la société ; ou les individus sont-ils la dernière chance de l'humanité pour assurer la survie de notre espèce ?
Nous sommes donc pris dans un paradoxe permanent, entre notre légitime désir de vivre pour nous-mêmes et l'assignation à des institutions qui semblent fonctionner pour elles-mêmes. L'individu n'est-il qu'une particule fonctionnelle de systèmes qui ne reconnaissent pas son existence ; n'est-il que ce monstre d'égoïsme indifférent à ses alter ego et dangereux pour la société ; ou les individus sont-ils la dernière chance de l'humanité pour assurer la survie de notre espèce ?
Chaque individu est unique, et différent de tout autre ; ...mais c'est le terme générique d'Homme qui est utilisé pour définir les droits et les valeurs qui le concernent. La notion d'individu est la référence symbolique qui a présidé à tous les systèmes de vérité : philosophies, dogmes, mythes ou sciences de l'homme ; ... mais c'est l'organisation collective : la société, qui impose ses règles de vie, communes et anonymes.
Nous sommes donc pris dans un paradoxe permanent, entre notre légitime désir de vivre pour nous-mêmes et l'assignation à des institutions qui semblent fonctionner pour elles-mêmes. L'individu n'est-il qu'une particule fonctionnelle de systèmes qui ne reconnaissent pas son existence ; n'est-il que ce monstre d'égoïsme indifférent à ses alter ego et dangereux pour la société ; ou les individus sont-ils la dernière chance de l'humanité pour assurer la survie de notre espèce ?
Nous sommes donc pris dans un paradoxe permanent, entre notre légitime désir de vivre pour nous-mêmes et l'assignation à des institutions qui semblent fonctionner pour elles-mêmes. L'individu n'est-il qu'une particule fonctionnelle de systèmes qui ne reconnaissent pas son existence ; n'est-il que ce monstre d'égoïsme indifférent à ses alter ego et dangereux pour la société ; ou les individus sont-ils la dernière chance de l'humanité pour assurer la survie de notre espèce ?