À quelques semaines (11 juillet 2020) du centenaire de la mort de la dernière impératrice de France, l’impératrice Eugénie, Maxime Michelet, jeune historien, nous dévoile la biographie de cette jeune femme de 27 ans issue de la grande noblesse espagnole, choisie par Napoléon III (alors âgé de 45 ans) dès le début de l’avènement du Second Empire.
Dans l’histoire familiale d’Eugénie, il y a un père et d’autres membres qui ont soutenu la France de Napoléon Ier. Alors quand le neveu de ce dernier, élu Président de la République, par un coup d’état le 2 décembre 1851, se proclame Empereur de France et vient la demander en mariage afin qu’elle le soutienne dans ce nouveau rayonnement impérial qu’il veut pour la France, elle accepte en y mettant toute sa volonté. Quand on nomme Napoléon III, on voit immédiatement Paris, Biarritz, Vichy et tout cet art architectural gravé « dans le marbre » tant tout a été conçu pour rester éternel.
Ce portrait d’Eugénie, nous montre qu’avec intelligence, grande humanité (beaucoup d’œuvres de charité accomplies), soif d’apprendre et volonté de bien représenter son mari, elle a participé avec grandeur et élégance à ce rayonnement international. À tel point que Napoléon III lui confiera la Régence dès ses absences pour faits de guerre. Elle s’investira dans ce monde politique avec le souhait de rendre dynastique ce deuxième empire pour son fils. Mais la France a déjà eu ses grandes révolutions, ses heures républicaines, et l’échec cuisant face à la Prusse de Bismarck en 1870 détruira totalement ce vœu.
À quelques semaines (11 juillet 2020) du centenaire de la mort de la dernière impératrice de France, l’impératrice Eugénie, Maxime Michelet, jeune historien, nous dévoile la biographie de cette jeune femme de 27 ans issue de la grande noblesse espagnole, choisie par Napoléon III (alors âgé de 45 ans) dès le début de l’avènement du Second Empire.
Dans l’histoire familiale d’Eugénie, il y a un père et d’autres membres qui ont soutenu la France de Napoléon Ier. Alors quand le neveu de ce dernier, élu Président de la République, par un coup d’état le 2 décembre 1851, se proclame Empereur de France et vient la demander en mariage afin qu’elle le soutienne dans ce nouveau rayonnement impérial qu’il veut pour la France, elle accepte en y mettant toute sa volonté. Quand on nomme Napoléon III, on voit immédiatement Paris, Biarritz, Vichy et tout cet art architectural gravé « dans le marbre » tant tout a été conçu pour rester éternel.
Ce portrait d’Eugénie, nous montre qu’avec intelligence, grande humanité (beaucoup d’œuvres de charité accomplies), soif d’apprendre et volonté de bien représenter son mari, elle a participé avec grandeur et élégance à ce rayonnement international. À tel point que Napoléon III lui confiera la Régence dès ses absences pour faits de guerre. Elle s’investira dans ce monde politique avec le souhait de rendre dynastique ce deuxième empire pour son fils. Mais la France a déjà eu ses grandes révolutions, ses heures républicaines, et l’échec cuisant face à la Prusse de Bismarck en 1870 détruira totalement ce vœu.