L'Homme et l'Animal. L'invention de nouveaux liens

Par : Martine Hossaert-McKey, Frédéric Keck, Serge Morand
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 2 août et le 5 août
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages191
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.536 kg
  • Dimensions17,0 cm × 22,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-7491-6907-1
  • EAN9782749169071
  • Date de parution04/11/2021
  • ÉditeurLe Cherche Midi
  • PréfacierBoris Cyrulnik

Résumé

Chiens, chats, chevaux, vaches, cochons...A quand remonte la domestication ? Quelle place occupent les animaux sauvages ou méconnus ? Comment expliquer la menace d'extinction qui plane sur certaines espèces ? Quels sont ces animaux sentinelles susceptibles d'anticiper l'émergence de nouvelles maladies infectieuses ? L'humanité a toujours entretenu une relation complexe avec l'animal. C'est ce lien, qui s'est intensifié lors de la révolution Néolithique par la domestication de certaines espèces et qui n'a cessé d'évoluer au fil des époques et des cultures, que la science cherche aujourd'hui à explorer.
L'agriculture et l'élevage ont en effet constitué la première mise à distance entre le sauvage et le domestique. Avec la mécanisation et les élevages intensifs, les animaux sont devenus des machines vivantes à la fois optimisées et contrôlées en raison de problèmes sanitaires. Quant aux animaux sauvages, leurs espaces ont été réduits, et ils ont été de plus en plus surveillés par l'homme pour leur conservation ou pour leurs impacts réels ou supposés sur la santé et le bien-être humain.
L'espèce humaine s'inspire de l'animal depuis les origines mais elle a souvent entretenu un rapport de supériorité avec lui. Comment aujourd'hui repenser cette relation trop souvent conçue comme utilitariste ? Peut-être en s'interrogeant sur la place de l'humain comme "vivant parmi les vivants". Cette nouvelle approche passe par la reconnaissance du juste apport de l'animal dans de nombreux domaines.
Elle permet de mesurer combien humains et animaux ont évolué de concert en s'apportant savoirs et connaissances. Aujourd'hui, la crise sanitaire nous interroge sur les mécanismes de l'émergence de nouveaux agents infectieux issus de la faune sauvage, mais aussi plus généralement sur les rapports entre les animaux et les humains. Un lien qu'il nous appartient de décrypter pour inventer une relation plus équilibrée, permettant de dessiner les contours d'un nouveau pacte avec l'animal.
Chiens, chats, chevaux, vaches, cochons...A quand remonte la domestication ? Quelle place occupent les animaux sauvages ou méconnus ? Comment expliquer la menace d'extinction qui plane sur certaines espèces ? Quels sont ces animaux sentinelles susceptibles d'anticiper l'émergence de nouvelles maladies infectieuses ? L'humanité a toujours entretenu une relation complexe avec l'animal. C'est ce lien, qui s'est intensifié lors de la révolution Néolithique par la domestication de certaines espèces et qui n'a cessé d'évoluer au fil des époques et des cultures, que la science cherche aujourd'hui à explorer.
L'agriculture et l'élevage ont en effet constitué la première mise à distance entre le sauvage et le domestique. Avec la mécanisation et les élevages intensifs, les animaux sont devenus des machines vivantes à la fois optimisées et contrôlées en raison de problèmes sanitaires. Quant aux animaux sauvages, leurs espaces ont été réduits, et ils ont été de plus en plus surveillés par l'homme pour leur conservation ou pour leurs impacts réels ou supposés sur la santé et le bien-être humain.
L'espèce humaine s'inspire de l'animal depuis les origines mais elle a souvent entretenu un rapport de supériorité avec lui. Comment aujourd'hui repenser cette relation trop souvent conçue comme utilitariste ? Peut-être en s'interrogeant sur la place de l'humain comme "vivant parmi les vivants". Cette nouvelle approche passe par la reconnaissance du juste apport de l'animal dans de nombreux domaines.
Elle permet de mesurer combien humains et animaux ont évolué de concert en s'apportant savoirs et connaissances. Aujourd'hui, la crise sanitaire nous interroge sur les mécanismes de l'émergence de nouveaux agents infectieux issus de la faune sauvage, mais aussi plus généralement sur les rapports entre les animaux et les humains. Un lien qu'il nous appartient de décrypter pour inventer une relation plus équilibrée, permettant de dessiner les contours d'un nouveau pacte avec l'animal.
Mangrove
François Fromard, Emma Michaud, Martine Hossaert-McKey
E-book
20,99 €
Ecologie chimique
Anne-Geneviève Bagnères, Martine Hossaert-McKey
65,20 €