L'heure exacte
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- Nombre de pages122
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.16 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-343-03052-4
- EAN9782343030524
- Date de parution01/04/2014
- CollectionEcritures
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Qui a tué la petite Cécile Combettes, dont le corps profané a été découvert un matin d'avril 1847 contre le mur du couvent des Frères des écoles du quartier Saint-Aubin à Toulouse ? Pourquoi a-t-on condamné l'un des moines, Louis Bonafous, en religion frère Léotade, qui meurt d'épuisement au bagne de Toulon ? C'est à travers l'étude des comptes-rendus des audiences de son procès criminel mené devant la cour d'assises de Toulouse sur fond de passions politiques, qu'un jeune magistrat tente après sa mort de démêler le vrai du faux.
Ce qu'il découvre, c'est que la grande horloge de la justice ne donne pas toujours l'heure exacte et que le goût de l'injustice n'est ni amer ni âcre, il n'imprègne ni la bouche ni le palais, il ne remonte pas dans les renvois d'une digestion aussi lourde qu'un délibéré d'après déjeuner, encore des mots de la cuisine judiciaire : le goût de l'injustice imprègne lentement l'âme. L'âme qui se demande parfois en sortant de l'audience, si finalement, on a bien fait de juger ainsi...
Ce qu'il découvre, c'est que la grande horloge de la justice ne donne pas toujours l'heure exacte et que le goût de l'injustice n'est ni amer ni âcre, il n'imprègne ni la bouche ni le palais, il ne remonte pas dans les renvois d'une digestion aussi lourde qu'un délibéré d'après déjeuner, encore des mots de la cuisine judiciaire : le goût de l'injustice imprègne lentement l'âme. L'âme qui se demande parfois en sortant de l'audience, si finalement, on a bien fait de juger ainsi...
Qui a tué la petite Cécile Combettes, dont le corps profané a été découvert un matin d'avril 1847 contre le mur du couvent des Frères des écoles du quartier Saint-Aubin à Toulouse ? Pourquoi a-t-on condamné l'un des moines, Louis Bonafous, en religion frère Léotade, qui meurt d'épuisement au bagne de Toulon ? C'est à travers l'étude des comptes-rendus des audiences de son procès criminel mené devant la cour d'assises de Toulouse sur fond de passions politiques, qu'un jeune magistrat tente après sa mort de démêler le vrai du faux.
Ce qu'il découvre, c'est que la grande horloge de la justice ne donne pas toujours l'heure exacte et que le goût de l'injustice n'est ni amer ni âcre, il n'imprègne ni la bouche ni le palais, il ne remonte pas dans les renvois d'une digestion aussi lourde qu'un délibéré d'après déjeuner, encore des mots de la cuisine judiciaire : le goût de l'injustice imprègne lentement l'âme. L'âme qui se demande parfois en sortant de l'audience, si finalement, on a bien fait de juger ainsi...
Ce qu'il découvre, c'est que la grande horloge de la justice ne donne pas toujours l'heure exacte et que le goût de l'injustice n'est ni amer ni âcre, il n'imprègne ni la bouche ni le palais, il ne remonte pas dans les renvois d'une digestion aussi lourde qu'un délibéré d'après déjeuner, encore des mots de la cuisine judiciaire : le goût de l'injustice imprègne lentement l'âme. L'âme qui se demande parfois en sortant de l'audience, si finalement, on a bien fait de juger ainsi...