L'épidémie et la démorésilience

Par : Norbert Gualde

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  • Nombre de pages308
  • PrésentationBroché
  • Poids0.39 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-296-56560-9
  • EAN9782296565609
  • Date de parution01/10/2011
  • CollectionActeurs de la Science
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

En réponse à l'épidémie, la démorésilience représente, pour une communauté humaine, sa résistance antimicrobienne, émergence de la fédération des résistances de chacun des membres de la collectivité. La démorésilience, de nature biologique, est consécutive à une adaptation émergeant des joutes avec les agents pathogènes selon un modèle métaphorisé par celui de la " Reine Rouge ". Les luttes adaptées aux variétés microbiennes génèrent la diversité des outils de la démorésilience, expression de l'empreinte génétique chez les hôtes de la pression des agents pathogènes.
Certaines desdites empreintes (hémoglobines, cellules immunitaires, etc.) sont les signatures en miroir des attaques microbiennes. On peut par conséquent spéculer sur l'intérêt d'investigations génétiques desdits hôtes, permettant de " lire " (catoptromancie) les gènes, miroirs du potentiel défensif des populations. La démorésilience est également un fait culturel et pose de façon lancinante la question du vaccin ; elle n'est plus alors entendue comme résistance physiologique aux microbes, mais comme un principe qui suscite une réflexion et des mesures appropriées, en ce qu'il se manifeste à la suite d'un refus vaccinal de plus en plus fréquent.
Se pose en conséquence la définition de l'altruisme puisque chacun, en se vaccinant pour lui-même, protège de facto autrui. Altruisme inconscient pour la conservation de l'espèce ? Un différentiel est à poser dans les cas où l'épidémie survient, car cette dernière module la démorésilience.
En réponse à l'épidémie, la démorésilience représente, pour une communauté humaine, sa résistance antimicrobienne, émergence de la fédération des résistances de chacun des membres de la collectivité. La démorésilience, de nature biologique, est consécutive à une adaptation émergeant des joutes avec les agents pathogènes selon un modèle métaphorisé par celui de la " Reine Rouge ". Les luttes adaptées aux variétés microbiennes génèrent la diversité des outils de la démorésilience, expression de l'empreinte génétique chez les hôtes de la pression des agents pathogènes.
Certaines desdites empreintes (hémoglobines, cellules immunitaires, etc.) sont les signatures en miroir des attaques microbiennes. On peut par conséquent spéculer sur l'intérêt d'investigations génétiques desdits hôtes, permettant de " lire " (catoptromancie) les gènes, miroirs du potentiel défensif des populations. La démorésilience est également un fait culturel et pose de façon lancinante la question du vaccin ; elle n'est plus alors entendue comme résistance physiologique aux microbes, mais comme un principe qui suscite une réflexion et des mesures appropriées, en ce qu'il se manifeste à la suite d'un refus vaccinal de plus en plus fréquent.
Se pose en conséquence la définition de l'altruisme puisque chacun, en se vaccinant pour lui-même, protège de facto autrui. Altruisme inconscient pour la conservation de l'espèce ? Un différentiel est à poser dans les cas où l'épidémie survient, car cette dernière module la démorésilience.
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