L'endettement international : mythe ou réalité en Afrique ?
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- Nombre de pages288
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.362 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-343-20523-6
- EAN9782343205236
- Date de parution29/01/2021
- CollectionEtudes africaines - Finance
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
"L'Afrique doit s'endetter autant que possible pour financer, en partie, son développement économique" , affirme Djelhi Yahot, contredisant orthodoxie et théorie. Cet ouvrage réfute la notion de seuil d'endettement au-delà duquel tout pays devient insolvable, rejette la thèse d'insolvabilité des pays débiteurs du Tiers-monde et l'idée de menace de faillite du système financier international évoquées lors de la crise de l'endettement des années 1980 à 1990.
Il introduit une nouvelle approche : la rentabilisation de la dette contractée qui s'autorembourse et permet aux pays - surtout les pays africains - de s'endetter à l'infini, sans risque.
Il introduit une nouvelle approche : la rentabilisation de la dette contractée qui s'autorembourse et permet aux pays - surtout les pays africains - de s'endetter à l'infini, sans risque.
"L'Afrique doit s'endetter autant que possible pour financer, en partie, son développement économique" , affirme Djelhi Yahot, contredisant orthodoxie et théorie. Cet ouvrage réfute la notion de seuil d'endettement au-delà duquel tout pays devient insolvable, rejette la thèse d'insolvabilité des pays débiteurs du Tiers-monde et l'idée de menace de faillite du système financier international évoquées lors de la crise de l'endettement des années 1980 à 1990.
Il introduit une nouvelle approche : la rentabilisation de la dette contractée qui s'autorembourse et permet aux pays - surtout les pays africains - de s'endetter à l'infini, sans risque.
Il introduit une nouvelle approche : la rentabilisation de la dette contractée qui s'autorembourse et permet aux pays - surtout les pays africains - de s'endetter à l'infini, sans risque.
