L'Ecole d'optique de Morez. Lycée Victor Bérard
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- Nombre de pages48
- PrésentationBroché
- Poids0.14 kg
- Dimensions11,4 cm × 22,5 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-36219-064-3
- EAN9782362190643
- Date de parution06/02/2013
- CollectionParcours du Patrimoine
- ÉditeurLieux Dits
- PhotographeYves Sancey
Résumé
Morez capitale de la lunette. Ce titre résume l’évolution d’une communauté née de l’industrie au XVe siècle et spécialisée dans le travail du métal. Diffusant dans le monde entier leurs horloges monumentales, leurs « comtoises » et leurs lunettes, les Moréziens font au XIXe siècle de leur cité la première ville industrielle du département. Une ville qui défend ses emplois : lorsque l’horlogerie connaît des difficultés dans la seconde moitié du siècle, la municipalité n’hésite pas à ouvrir sa propre école professionnelle, soutenue par le milieu industriel local.
Et les industriels sont encore là lorsqu’elle obtient en 1925 la nationalisation de son école pratique de commerce et d’industrie, dont la filière optique-lunetterie connaît un recrutement national. En 1933 sont inaugurés les vastes bâtiments de la nouvelle école nationale d’Optique. De style Art déco, en béton armé, ils sont l’oeuvre de l’architecte Paul Guadet et abritent toujours l’établissement – devenu lycée polyvalent Victor Bérard – qui a conservé sa spécialisation en optique-lunetterie, concourant ainsi au renom de la ville.
Et les industriels sont encore là lorsqu’elle obtient en 1925 la nationalisation de son école pratique de commerce et d’industrie, dont la filière optique-lunetterie connaît un recrutement national. En 1933 sont inaugurés les vastes bâtiments de la nouvelle école nationale d’Optique. De style Art déco, en béton armé, ils sont l’oeuvre de l’architecte Paul Guadet et abritent toujours l’établissement – devenu lycée polyvalent Victor Bérard – qui a conservé sa spécialisation en optique-lunetterie, concourant ainsi au renom de la ville.
Morez capitale de la lunette. Ce titre résume l’évolution d’une communauté née de l’industrie au XVe siècle et spécialisée dans le travail du métal. Diffusant dans le monde entier leurs horloges monumentales, leurs « comtoises » et leurs lunettes, les Moréziens font au XIXe siècle de leur cité la première ville industrielle du département. Une ville qui défend ses emplois : lorsque l’horlogerie connaît des difficultés dans la seconde moitié du siècle, la municipalité n’hésite pas à ouvrir sa propre école professionnelle, soutenue par le milieu industriel local.
Et les industriels sont encore là lorsqu’elle obtient en 1925 la nationalisation de son école pratique de commerce et d’industrie, dont la filière optique-lunetterie connaît un recrutement national. En 1933 sont inaugurés les vastes bâtiments de la nouvelle école nationale d’Optique. De style Art déco, en béton armé, ils sont l’oeuvre de l’architecte Paul Guadet et abritent toujours l’établissement – devenu lycée polyvalent Victor Bérard – qui a conservé sa spécialisation en optique-lunetterie, concourant ainsi au renom de la ville.
Et les industriels sont encore là lorsqu’elle obtient en 1925 la nationalisation de son école pratique de commerce et d’industrie, dont la filière optique-lunetterie connaît un recrutement national. En 1933 sont inaugurés les vastes bâtiments de la nouvelle école nationale d’Optique. De style Art déco, en béton armé, ils sont l’oeuvre de l’architecte Paul Guadet et abritent toujours l’établissement – devenu lycée polyvalent Victor Bérard – qui a conservé sa spécialisation en optique-lunetterie, concourant ainsi au renom de la ville.