Avec le langage même de la vie, l'auteur relate la confession d'un garçon d'étage voyeur et onaniste. L'humanité, considérée comme un entomologiste regarde les insectes, y semble cruellement dépersonnalisée, ce qui est une façon de peindre le malaise de l'homme moderne.
Avec le langage même de la vie, l'auteur relate la confession d'un garçon d'étage voyeur et onaniste. L'humanité, considérée comme un entomologiste regarde les insectes, y semble cruellement dépersonnalisée, ce qui est une façon de peindre le malaise de l'homme moderne.