L'agriculture du Sénégal sous la colonisation

Par : Ismaïla Diop

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  • Nombre de pages218
  • PrésentationBroché
  • Poids0.337 kg
  • Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-343-11129-2
  • EAN9782343111292
  • Date de parution15/01/2017
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

L'agriculture sénégalaise, à la fin du 19e siècle, repose essentiellement sur des produits de cueillette. L'introduction de l'arachide au Sénégal au début du 20e siècle révolutionne le paysage agricole. La France décide alors de faire du Sénégal une colonie arachidière. Grâce à une bonne gestion du secteur et un encadrement technique et administratif adéquat des populations, le Sénégal est devenu la troisième puissance arachidière du monde après les Etats-Unis et l'Inde.
Cependant, la monoculture minière et extensive de l'arachide aboutit à un déficit vivrier chronique, une dégradation des sols, une dépendance vis-à-vis des importations de riz en provenance de l'Indochine (Cambodge surtout) et de la Thaïlande. Pour remédier à cette malédiction arachidière, le rapport de la mission Roland Portères de 1952, qualifié de Bible par le gouverneur du Sénégal, recommande des mesures d'aménagement du territoire, de restauration des sols, de promotion de l'agriculture intégrée sérère.
L'agriculture sénégalaise, à la fin du 19e siècle, repose essentiellement sur des produits de cueillette. L'introduction de l'arachide au Sénégal au début du 20e siècle révolutionne le paysage agricole. La France décide alors de faire du Sénégal une colonie arachidière. Grâce à une bonne gestion du secteur et un encadrement technique et administratif adéquat des populations, le Sénégal est devenu la troisième puissance arachidière du monde après les Etats-Unis et l'Inde.
Cependant, la monoculture minière et extensive de l'arachide aboutit à un déficit vivrier chronique, une dégradation des sols, une dépendance vis-à-vis des importations de riz en provenance de l'Indochine (Cambodge surtout) et de la Thaïlande. Pour remédier à cette malédiction arachidière, le rapport de la mission Roland Portères de 1952, qualifié de Bible par le gouverneur du Sénégal, recommande des mesures d'aménagement du territoire, de restauration des sols, de promotion de l'agriculture intégrée sérère.