L'affiche rouge

Par : Benoît Rayski

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  • Nombre de pages153
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.11 kg
  • Dimensions10,8 cm × 17,9 cm × 1,4 cm
  • ISBN979-10-392-0455-2
  • EAN9791039204552
  • Date de parution04/01/2024
  • CollectionArchipoche
  • ÉditeurArchipoche

Résumé

"Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent..." Tous étaient membres des FTP-MOI, l'organisation militaire du Parti communiste pour les étrangers. Des immigrants, certes, venus de Pologne, de Hongrie, de Roumanie, d'Arménie. Mais des hommes qui chérissaient la France. Le 21 février 1944, ils tombèrent au Mont-Valérien sous les balles de l'occupant. La seule femme du groupe, Olga Bancic, fut exécutée à Stuttgart trois mois plus tard. Diffusée par la propagande nazie en France, une affiche rouge sang exhibait les visages "noirs de barbe et de nuit" de cette prétendue "armée du crime". Du combat héroïque de ces résistants, Aragon fit un poème que sublima la musique de Léo Ferré. Le récit de Benoît Rayski évoque leur milieu d'origine : le XIe arrondissement de Paris, un quartier populaire marqué par l'immigration juive et les idéaux communistes, les bals du 14-Juillet et l'apprentissage du yiddish après l'école. Tout un monde englouti, empreint de chaleur, de courage et de générosité, où brillent à jamais les noms de Missak et Mélinée Manouchian.
"Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent..." Tous étaient membres des FTP-MOI, l'organisation militaire du Parti communiste pour les étrangers. Des immigrants, certes, venus de Pologne, de Hongrie, de Roumanie, d'Arménie. Mais des hommes qui chérissaient la France. Le 21 février 1944, ils tombèrent au Mont-Valérien sous les balles de l'occupant. La seule femme du groupe, Olga Bancic, fut exécutée à Stuttgart trois mois plus tard. Diffusée par la propagande nazie en France, une affiche rouge sang exhibait les visages "noirs de barbe et de nuit" de cette prétendue "armée du crime". Du combat héroïque de ces résistants, Aragon fit un poème que sublima la musique de Léo Ferré. Le récit de Benoît Rayski évoque leur milieu d'origine : le XIe arrondissement de Paris, un quartier populaire marqué par l'immigration juive et les idéaux communistes, les bals du 14-Juillet et l'apprentissage du yiddish après l'école. Tout un monde englouti, empreint de chaleur, de courage et de générosité, où brillent à jamais les noms de Missak et Mélinée Manouchian.
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