L'affaire Gustav Wagner. Résolution d'un cold case nazi de 40 ans

Par : Laurent Pfaadt
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  • Nombre de pages292
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.399 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-213-72525-3
  • EAN9782213725253
  • Date de parution09/10/2024
  • ÉditeurFayard

Résumé

Dans une enquête policière et historique nourrie d'archives inédites et d'entretiens avec les derniers témoins, Laurent Pfaadt rouvre un cold case vieux de quarante ans pour retracer le parcours criminel et dévoiler la fin mystérieuse de l'un des plus grands génocidaires du siècle passé. A Sobibor, l'un des principaux camps d'extermination, il était surnommé la "Bête" en raison de sa cruauté et de son sadisme.
Nazi de la première heure, l'Oberscharführer-SS Gustav Wagner participa en Autriche à l'Aktion T4, le programme chargé de l'euthanasie des handicapés physiques et mentaux, avant d'être affecté en Pologne, où il fut responsable de l'assassinat de près de 250 000 juifs. Après la victoire des Alliés, comme de nombreux criminels de guerre, il parvint à fuir le continent européen grâce au Vatican. Ce furent alors près de trente-cinq années d'exil, en Syrie, puis au Brésil, avant qu'il ne soit démasqué par le célèbre chasseur de nazis Simon Wiesenthal.
Le Brésil refusa cependant son extradition, demandée par l'Allemagne et surtout par Israël. Quelques mois plus tard, en octobre 1980, Gustav Wagner mourut dans d'étranges circonstances.
Dans une enquête policière et historique nourrie d'archives inédites et d'entretiens avec les derniers témoins, Laurent Pfaadt rouvre un cold case vieux de quarante ans pour retracer le parcours criminel et dévoiler la fin mystérieuse de l'un des plus grands génocidaires du siècle passé. A Sobibor, l'un des principaux camps d'extermination, il était surnommé la "Bête" en raison de sa cruauté et de son sadisme.
Nazi de la première heure, l'Oberscharführer-SS Gustav Wagner participa en Autriche à l'Aktion T4, le programme chargé de l'euthanasie des handicapés physiques et mentaux, avant d'être affecté en Pologne, où il fut responsable de l'assassinat de près de 250 000 juifs. Après la victoire des Alliés, comme de nombreux criminels de guerre, il parvint à fuir le continent européen grâce au Vatican. Ce furent alors près de trente-cinq années d'exil, en Syrie, puis au Brésil, avant qu'il ne soit démasqué par le célèbre chasseur de nazis Simon Wiesenthal.
Le Brésil refusa cependant son extradition, demandée par l'Allemagne et surtout par Israël. Quelques mois plus tard, en octobre 1980, Gustav Wagner mourut dans d'étranges circonstances.