L'accident de Fukushima Dai Ichi. Le récit du directeur de la centrale Volume 3, L'abîme

Par : Franck Guarnieri, Aurélien Portelli, Aissame Afrouss
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  • Nombre de pages276
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.45 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-35671-604-0
  • EAN9782356716040
  • Date de parution17/09/2020
  • CollectionLibres opinions
  • ÉditeurPresses des Mines

Résumé

Le 11 mars 2011, le Japon subit l'un des séismes les plus importants de l'histoire. Il est suivi d'un tsunami de grande amplitude. La catastrophe naturelle fait plus de 18 000 morts et disparus. Cinq centrales nucléaires sont touchées. L'une d'entre elles, Fukushima Dai Ichi, est confrontée à une situation d'urgence nucléaire. Trois réacteurs entrent en fusion et des explosions se produisent dans trois bâtiments réacteurs.
Malgré la gravité de l'accident, le pire est pourtant évité. Evité grâce au courage et à l'action d'une poignée d'hommes dirigés par Masao Yoshida, le directeur de la centrale. Cet ouvrage propose au lecteur la suite et la fin d'un récit inédit : le témoignage, traduit du japonais, de Yoshida à la commission d'enquête gouvernementale sur l'accident. Plus de 400 pages qui dévoilent une autre histoire, celle d'une équipe de travailleurs confrontés à un désastre annoncé.
Ce troisième volume, sous-titré L'abîme, commence avec la question — plus que jamais d'actualité — du lieu de stockage et du traitement de l'eau contaminée sur le site de Dai Ichi, qui se pose déjà au lendemain de l'accident nucléaire. Yoshida revient ensuite des années en arrière, en 2007, à l'époque où il est nommé directeur du département "gestion des installations" de TEPCO. Epoque à laquelle l'entreprise commence à se préoccuper de la possibilité d'un gigantesque tsunami en se fondant sur de nouvelles études, en particulier celles sur une vague dévastatrice survenue au IXe siècle.
Les échanges avec les enquêteurs portent également sur les mesures prévues avant 2011 pour faire face à un accident grave et les dispositifs dont Yoshida aurait voulu bénéficier durant la crise nucléaire. Le directeur apporte enfin de nouvelles précisions sur la gestion de l'accident. L'occasion pour lui de rappeler le caractère hors norme de l'événement, de valoriser le professionnalisme de ses opérateurs, mais aussi de régler quelques comptes, notamment avec le Premier ministre Naoto Kan.
Le 11 mars 2011, le Japon subit l'un des séismes les plus importants de l'histoire. Il est suivi d'un tsunami de grande amplitude. La catastrophe naturelle fait plus de 18 000 morts et disparus. Cinq centrales nucléaires sont touchées. L'une d'entre elles, Fukushima Dai Ichi, est confrontée à une situation d'urgence nucléaire. Trois réacteurs entrent en fusion et des explosions se produisent dans trois bâtiments réacteurs.
Malgré la gravité de l'accident, le pire est pourtant évité. Evité grâce au courage et à l'action d'une poignée d'hommes dirigés par Masao Yoshida, le directeur de la centrale. Cet ouvrage propose au lecteur la suite et la fin d'un récit inédit : le témoignage, traduit du japonais, de Yoshida à la commission d'enquête gouvernementale sur l'accident. Plus de 400 pages qui dévoilent une autre histoire, celle d'une équipe de travailleurs confrontés à un désastre annoncé.
Ce troisième volume, sous-titré L'abîme, commence avec la question — plus que jamais d'actualité — du lieu de stockage et du traitement de l'eau contaminée sur le site de Dai Ichi, qui se pose déjà au lendemain de l'accident nucléaire. Yoshida revient ensuite des années en arrière, en 2007, à l'époque où il est nommé directeur du département "gestion des installations" de TEPCO. Epoque à laquelle l'entreprise commence à se préoccuper de la possibilité d'un gigantesque tsunami en se fondant sur de nouvelles études, en particulier celles sur une vague dévastatrice survenue au IXe siècle.
Les échanges avec les enquêteurs portent également sur les mesures prévues avant 2011 pour faire face à un accident grave et les dispositifs dont Yoshida aurait voulu bénéficier durant la crise nucléaire. Le directeur apporte enfin de nouvelles précisions sur la gestion de l'accident. L'occasion pour lui de rappeler le caractère hors norme de l'événement, de valoriser le professionnalisme de ses opérateurs, mais aussi de régler quelques comptes, notamment avec le Premier ministre Naoto Kan.
Franck Guarnieri est directeur de recherche à MINES ParisTech. Il dirigele Centre de recherche sur les Risques et les Crises (CRC).