Je suis... René Descartes
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- Nombre de pages104
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.138 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-7570-0419-7
- EAN9782757004197
- Date de parution15/08/2019
- CollectionJe suis...
- ÉditeurJacques André/CEI
- PréfacierJean-Claude Beaune
Résumé
Une sotte tradition a fait de l'adjectif "cartésien" le synonyme de "rationaliste étroit sans imagination". Le lecteur aimera rencontrer en personne celui qui proclama dès sa jeunesse : "je m'avance masqué" et qui, pour nous, tombe ici le masque. N'est-ce pas en rêvant qu'il a découvert sa méthode ? Connaître la vie de cet homme de guerre et d'aventures apporte en effet son lot de surprises. Lire Descartes nous permet de le rétablir tel qu'en lui-même.
On rencontre alors cet esprit rigoureux qui souhaite parvenir à la même certitude en philosophie qu'en mathématiques. Car, pour lui, la raison, est "la chose du monde la mieux partagée" (entre les riches et les pauvres, les hommes et les femmes, les huguenots, les catholiques ou les libertins, les Persans, les Chinois, ou les Poitevins). Et la méthode qu'il nous propose pourra permettre à tous ceux qui le souhaitent de la bien conduire.
Libéré du carcan stoïcien imposé par les jésuites, Descartes s'avère être aussi un avocat des passions "toutes bonnes de leur nature" et, parmi les passions, il est un adepte de la passion reine (une passion qui est aussi une vertu) : la générosité.
On rencontre alors cet esprit rigoureux qui souhaite parvenir à la même certitude en philosophie qu'en mathématiques. Car, pour lui, la raison, est "la chose du monde la mieux partagée" (entre les riches et les pauvres, les hommes et les femmes, les huguenots, les catholiques ou les libertins, les Persans, les Chinois, ou les Poitevins). Et la méthode qu'il nous propose pourra permettre à tous ceux qui le souhaitent de la bien conduire.
Libéré du carcan stoïcien imposé par les jésuites, Descartes s'avère être aussi un avocat des passions "toutes bonnes de leur nature" et, parmi les passions, il est un adepte de la passion reine (une passion qui est aussi une vertu) : la générosité.
Une sotte tradition a fait de l'adjectif "cartésien" le synonyme de "rationaliste étroit sans imagination". Le lecteur aimera rencontrer en personne celui qui proclama dès sa jeunesse : "je m'avance masqué" et qui, pour nous, tombe ici le masque. N'est-ce pas en rêvant qu'il a découvert sa méthode ? Connaître la vie de cet homme de guerre et d'aventures apporte en effet son lot de surprises. Lire Descartes nous permet de le rétablir tel qu'en lui-même.
On rencontre alors cet esprit rigoureux qui souhaite parvenir à la même certitude en philosophie qu'en mathématiques. Car, pour lui, la raison, est "la chose du monde la mieux partagée" (entre les riches et les pauvres, les hommes et les femmes, les huguenots, les catholiques ou les libertins, les Persans, les Chinois, ou les Poitevins). Et la méthode qu'il nous propose pourra permettre à tous ceux qui le souhaitent de la bien conduire.
Libéré du carcan stoïcien imposé par les jésuites, Descartes s'avère être aussi un avocat des passions "toutes bonnes de leur nature" et, parmi les passions, il est un adepte de la passion reine (une passion qui est aussi une vertu) : la générosité.
On rencontre alors cet esprit rigoureux qui souhaite parvenir à la même certitude en philosophie qu'en mathématiques. Car, pour lui, la raison, est "la chose du monde la mieux partagée" (entre les riches et les pauvres, les hommes et les femmes, les huguenots, les catholiques ou les libertins, les Persans, les Chinois, ou les Poitevins). Et la méthode qu'il nous propose pourra permettre à tous ceux qui le souhaitent de la bien conduire.
Libéré du carcan stoïcien imposé par les jésuites, Descartes s'avère être aussi un avocat des passions "toutes bonnes de leur nature" et, parmi les passions, il est un adepte de la passion reine (une passion qui est aussi une vertu) : la générosité.