Je suis... Jean-Jacques Rousseau

Par : Odile Nguyen-Schoendorff

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  • Nombre de pages76
  • PrésentationBroché
  • Poids0.1 kg
  • Dimensions20,0 cm × 14,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-2-7570-0223-0
  • EAN9782757002230
  • Date de parution16/02/2012
  • CollectionJe suis...
  • ÉditeurJacques André/CEI

Résumé

Jean-Jacques Rousseau né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville, reste une des figures les plus illustres du Siècle des Lumières et de toute l'histoire de la pensée. Écrivain, musicien, et surtout immense philosophe, il est sans conteste le penseur auquel la Révolution Française doit le plus. Ses écrits présentent parfois un caractère paradoxal et déconcertant. La richesse de sa vision du monde en fait pourtant un auteur rebelle à toute classification.
Beaucoup, à l'exemple de Voltaire, l'accusent de vouloir nous faire " marcher à quatre pattes ", en font un misanthrope, un nostalgique, un passéiste, rêvant d'un " âge d'or " et regrettant " l'état de nature " et " le bon sauvage ". Or, qu'il herborise, se livre à de mélancoliques Confessions, critique la dégradation des moeurs causée par un progrès aveugle des sciences et des techniques, qu'il déplore les injustices et l'iniquité de la monarchie absolue, ne l'empêche nullement, au contraire, d'être un penseur de l'avenir, un visionnaire confiant en la perfectibilité humaine, épris d'égalité, un des fondateurs de la démocratie.
Jean-Jacques Rousseau né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville, reste une des figures les plus illustres du Siècle des Lumières et de toute l'histoire de la pensée. Écrivain, musicien, et surtout immense philosophe, il est sans conteste le penseur auquel la Révolution Française doit le plus. Ses écrits présentent parfois un caractère paradoxal et déconcertant. La richesse de sa vision du monde en fait pourtant un auteur rebelle à toute classification.
Beaucoup, à l'exemple de Voltaire, l'accusent de vouloir nous faire " marcher à quatre pattes ", en font un misanthrope, un nostalgique, un passéiste, rêvant d'un " âge d'or " et regrettant " l'état de nature " et " le bon sauvage ". Or, qu'il herborise, se livre à de mélancoliques Confessions, critique la dégradation des moeurs causée par un progrès aveugle des sciences et des techniques, qu'il déplore les injustices et l'iniquité de la monarchie absolue, ne l'empêche nullement, au contraire, d'être un penseur de l'avenir, un visionnaire confiant en la perfectibilité humaine, épris d'égalité, un des fondateurs de la démocratie.